1. Le bal costumé


    Datte: 13/02/2021, Catégories: hh, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels intermast, inithh,

    ... aux caresses. Ses paumes en frôlent les pointes, ses doigts électrisent la peau alentour, ses ongles griffent mes aréoles. Le petit calot réglementaire qui tenait la chevelure de la perruque n’a pas résisté à l’assaut, je le retrouverai plus tard, mais ma tenue n’a déjà plus rien de celle d’une stricte hôtesse de l’air. La veste béante sur la dentelle de ma lingerie, ma jupe amplement retroussée sur mes longues cuisses croisées dévoilant, libertine, l’accroche des jarretelles. Ainsi offerte au maximum de ma féminité je suis aux anges et mon plaisir devient une impatience impérieuse, j’ai faim de me sentir vraiment désirable et impudique. Trouvant sa position inconfortable, il repasse devant le fauteuil de nos ébats, s’installe à genoux face à moi. Ses yeux inquisiteurs se délectent et me savourent, j’adore cette situation précise qui m’expose au regard. Ses mains glissent du buste sur mon ventre, puis sur les rondeurs des hanches enveloppées par la minijupe, atteignent les cuisses, le satiné des bas, ses paumes massent le nylon, ses doigts parcourent le dessous des cuisses jusqu’aux genoux, et délicatement les séparent. Ainsi l’ouverture révèle enfin - pour lui ! - le mystère recelé par le tissu de la minijupe. Quel ravissement de lui dévoiler la peau nue au-dessus des bas, les jarretelles tendant ceux-ci, puis un peu plus haut encore, le tanga coordonné emprisonnant mes délicieux appas. — Que tu es beau… heu… je peux dire belle, non ?— Si tu dis belle, alors je peux ...
    ... m’estimer assez féminine pour le désir d’un homme, non ?— Alors je dis : tu es très belle, Camille chérie ! Chacun de ses majeurs effleure l’intérieur de mes cuisses en progressant vers mon entrejambe voilé de soierie. Ils atteignent l’élastique pour frôler tout du long la peau de l’aine jusqu’au bord des fesses… Arrivés sous les bourses, ses doigts glissent sous le tissu du tanga pour tenter d’accéder à mon antre d’amour… Mais ma position assise ne lui donne pas encore le loisir d’aborder le rivage aussi captivant de ma personnalité. Je choisis ce moment pour repousser Arnaud, il se laisse aller sur l’épais tapis oriental qui recouvre tout le sol du salon. Je m’agenouille et, impatiente, déboutonne sa chemise, dégrafe son pantalon à la découverte de ce corps. Il ne lui reste plus qu’un mini slip dissimulant avec peine une raideur, sans équivoque sur l’effet provoqué par notre petit amusement précédent. Le contact de sa peau sous mes doigts est immédiatement délicieux, je caresse l’épiderme de son torse, les poils sur la poitrine, déniche les tétons durs, fermes et dressés par le désir. Je les frôle, les agace, les griffe au point qu’il murmure et gémit. Encouragée par la mélodie enchantée de sa voix, je pose mes lèvres sur un de ses seins pour le téter, le mordiller tendrement. Je passe de l’un à l’autre et, ayant ainsi libéré une de mes mains, la laisse disponible pour une exploration voluptueuse. Je perçois l’invitation à la caresse, son ventre se tend au contact de nos deux ...