1. Elle a bouleversé mon quotidien


    Datte: 14/02/2021, Catégories: fh, noculotte, Oral

    ... Je soutins son regard et pris le temps nécessaire à ma réponse. Ces quelques secondes m’ont paru une éternité, mais elle ne bougeait pas d’un pouce. — On peut dire ça comme ça oui. Vous connaissez l’histoire du déclic ?— Pas du tout.— C’est l’histoire d’une jeune femme qui se trouve être téléguidée par un professeur fou amoureux d’elle qui a introduit dans son cerveau un émetteur de pulsions sexuelles. Cet homme actionne un variateur à distance pour déclencher chez la jeune femme des pulsions sexuelles qui vont du simple émoi au plus fougueux des désirs. Malheureusement pour elle, le professeur actionne toujours le variateur dans les lieux les plus incongrus, ce qui provoque les situations les plus… cocasses, dirons nous.— Très bien… Je pense que c’est exactement ce que je cherche. Elle prit alors sa voix la plus basse pour me demander de bien vouloir mettre ces deux volumes de côté et m’indiquer qu’elle passerait elle-même les chercher dans la semaine. Je pris les deux ouvrages et les mis sous la caisse. Elle reprit son chemin vers son mari et ils firent un choix conséquent : deux séries entières, soit neuf volumes d’un coup. Et surtout : des clients qui reviendraient pour me donner l’avis du jeune homme en question… 10 juin, 9 heures du matin : ouverture du magasin J’avais mal dormi. Un cochon de contrôleur URSSAF avait réussi à me redresser sur les «cadeaux» que je faisais à mes salariés, en leur permettant d’acheter des ouvrages moins chers. J’en étais de quelques ...
    ... milliers d’euros et ça avait le don de me mettre en rogne. Une fois les lumières allumées et le magasin ouvert, je décidai de me prendre un café triple dans l’arrière-boutique, en ouvrant les colis de livraison des nouveautés. J’y trouvai quelques trésors très attendus et je me dis que finalement, j’allais pouvoir me faire une petite séance de lecture tranquille, car les clients se bousculent rarement le matin. Je m’assis sur le pouf à plumes de l’arrière-boutique et commençai à lire une nouveauté : "Nous sommes Légion". J’étais en plein cœur de l’action quand j’entendis un froissement de vêtements derrière moi. Je me tournai très vite et aperçus le visage de la femme de lundi. Et là… catastrophe ! Je revois encore la tasse de café tiède bouger trop vite et le liquide noir partir en grosse flaque sur le carton de livres ouvert. Bien entendu, ma chemisette et mon pantalon en avaient pris un coup par la même occasion. Dans des cas comme ça, j’ai toujours un moment d’incrédulité qui me fait dire : — Et merde… Je repris mes esprits et me levai doucement. Hop, la tasse sur un meuble, je pris quelques mouchoirs pour éponger rapidement les ouvrages, même si je savais qu’ils étaient à présent invendables. C’est alors que je me dis que tout était de sa faute à ELLE ! Que faisait-elle là ? L’accès à cette salle est interdit aux personnes non autorisées, comme on dit ! Elle avait compris à mon expression que j’étais en colère et qu’elle n’y était pas étrangère. — Heu… je suis désolée… il n’y ...
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