Elle a bouleversé mon quotidien
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
fh,
noculotte,
Oral
... que mon mari… et aussi la première fois…— Que ?— Ben… votre doigt, là !— Oh… dans vos fesses, vous voulez dire ?— Oui. Je n’ai jamais voulu jusqu’à présent. Son visage commença à s’empourprer un peu et des larmes lui montèrent aux yeux. Cette femme qui venait de vivre un bel orgasme était à présent au début d’une crise de larmes. Incroyable. Je connaissais des gens qui ont l’alcool triste, mais c’était bien la première fois que je rencontrais quelqu’un qui avait l’orgasme triste ! — Ecoutez, je n’ai pas eu la sensation d’avoir abusé de vous, me semble-t-il ?— Non, non… ce n’est pas ça. Depuis que je suis entrée, j’avais envie de vous et ce que vous m’avez fait était… comment dire… c’était parfait. Je me mis accroupi devant elle, pour lui faire relever le visage. — Anne, vous êtes une femme splendide et je n’ai pas pu résister à vos charmes. Je vous vois maintenant dépitée, presque meurtrie. Pourquoi ?— J’aime mon mari vous savez. N’attendez rien de moi. Nous deux n’avons aucun avenir ensemble. Mais je vous avoue que lorsque vous vous êtes mis en colère après moi, j’ai éprouvé un sentiment étrange de petite fille fautive et… j’ai eu envie de vous, envie de me donner… Me voilà bien. Pour la première fois de ma vie je venais de sombrer dans un côté ...
... maître/soumise totalement inconnu de moi. Elle se releva, m’embrassa sur la joue, puis alla prendre son sac à main et sa veste. — Je dois partir maintenant, dit-elle, en s’approchant de moi.— Alors partez, mais partez vite, car je ne suis pas certain de pouvoir me retenir encore longtemps.— … comment ça ? J’entrepris alors de lui prendre la main et de la coller à mon entrejambe. — À cause de ça ! Elle sentit alors au bas de mon ventre une bosse déformer mon pantalon. Ses yeux s’agrandirent… elle comprenait que notre petit jeu n’avait profité qu’à elle. — Je… Je suis désolée. Je dois vraiment partir.— Je sais. Filez ! Vite ! Elle sortit de l’arrière-salle, puis de la boutique, en marchant vite. Au détour d’un pylône du centre commercial, je la vis se retourner, elle pleurait. Nos regards se croisèrent quelques instants et elle disparut dans la foule qui commençait à arriver. Je me décidai à reprendre mes esprits et ouvris ma caisse. C’est à ce moment que ma tristesse et mon vague à l’âme disparurent d’un coup : elle avait oublié ses deux ouvrages. Je me dis soudain que si je la voyais revenir un jour pour les reprendre, c’est que quelque chose se serait "vraiment" passé entre nous. Si j’avais su alors toutes les conséquences qu’aurait cette aventure…