Elle a bouleversé mon quotidien
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
fh,
noculotte,
Oral
... Elle continua son ménage et je la trouvais très appliquée. J’entrepris de vérifier les livres qu’elle avait déjà nettoyés. — Dites, j’espère au moins que le café n’a pas tâché votre tailleur ? Elle se releva immédiatement en se cambrant pour vérifier sa jupe. — Eh bien… non… Je ne crois pas. Elle vérifiait toujours et ôta sa veste pour regarder partout. Son chemisier blanc était légèrement transparent et laissait deviner un ventre plat et des sous-vêtements en dentelle blancs. — Tournez-vous, pour voir s’il n’y a aucune tâche ? Elle tourna sur elle-même en courbant le dos de côté, très gracieusement. — Non… à priori il n’y a rien. Vous avez de la chance vous… Ha ! Si !— Hein ? Où ça ?— Vos chaussures… il y a une légère tâche. En effet, la chaussure gauche avait un peu de café. Rien de bien méchant, mais quand même. Je pris un mouchoir et me mis à ses pieds pour essuyer doucement le cuir noir. En relevant la tête vers elle, nos regards se sont croisés. Je restais un genou à terre, les yeux dans les siens, médusé. Elle était vraiment très belle ainsi. En deux secondes, j’avais lâché mon mouchoir et ma main touchait sa cheville droite et remontait lentement sur son mollet. La peau était douce et ma position m’incitait à aller beaucoup plus loin. Elle ne bougeait pas. Elle semblait hypnotisée et ne pas savoir comment réagir. Avant qu’elle ne prenne une décision, ma main était remontée derrière sa cuisse et passait déjà sous sa jupe pour atteindre le bord de la fesse. Je ne ...
... sentais aucun tissu. Soit elle ne portait rien, soit c’était un string ficelle. Je mis tout de suite ma deuxième main sur l’autre jambe, un peu écartée de par la position qu’elle avait prise pour que je nettoie sa chaussure. J’atteignis alors son autre fesse et les pris toutes les deux dans les mains ; mes doigts atteignaient presque le sillon culier. Je redescendis le long des cuisses, pour mieux remonter… mais cette fois la jupe remonta aussi, aussi haut que je le pus. La surprise fut totale : non seulement elle ne portait rien en dessous, mais en plus, son sexe était totalement rasé ! C’était une première pour moi et je ne voulus pas perdre un instant. Ma bouche se posa directement sur son pubis pour l’embrasser. — Non ! Pas ça… s’il vous plaît… pas ça… Je stoppai, incrédule… — Pourquoi ? demandai-je. Vous n’appréciez pas ?— Si. Trop, justement… je ne tiendrai pas longtemps. Je compris alors qu’elle désirait que nous allions plus loin, qu’elle l’avait toujours voulu. Décidément, je ne comprendrai jamais rien aux femmes, moi ! Je lui souris. — Tant mieux… J’ai hâte de vous voir jouir sur ma langue, chère… ?— Heu… Anne… Je m’appelle Anne.— Et bien chère Anne, profitez de ces instants de plaisir unilatéral. Je vous promets qu’après, je prendrai le mien. A ces mots, ma bouche se posa sur son pubis. J’embrassai le bas de son ventre et descendis lentement entre ses cuisses. Mon regard ne la lâchait pas, jusqu’au moment où je vis ses yeux se fermer doucement et sa bouche s’entrouvrir… ...