11 - Voir, et... être vu !
Datte: 14/02/2021,
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... y aller pour ne pas être en retard, même si l’envie de tout envoyer valser n’est jamais bien loin. Mardi, 18 h 55, une bouteille de champagne à la main, je pousse la porte de sa boutique. Bien qu’occupé avec un client, Patrick me fait un petit signe de la main. Je patiente en regardant les fringues, juste histoire de ne pas rester bêtement planté là. L’attente ne sera pas longue, le voilà déjà vers moi : — Que me vaut l’honneur de ta visite ? demande-t-il. Je ne m’attendais pas à te voir cette semaine. Tu vas bien ?— Très bien, merci ! figure-toi qu’en sortant du taf tout-à-l’heure, je me suis rappelé qu’on était mardi.— Je te le confirme : c’est bien mardi. Mais… le champagne est pour quelle raison ? s’intrigue-t-il, un sourire aux lèvres.— C’est symbolique, juste parce qu’aujourd’hui, ça fait cinq semaines que j’ai renversé mon verre sur toi.— Oh… excuse-moi ! me dit-il, confus. J’étais à cent lieues de penser à un événement aussi sympathique. Je ferme la boutique et te rejoins derrière. Ah, cette arrière-boutique… En deux minutes, j’attrape deux verres à whisky, me déshabille et m’assieds au bord de cette grande table, la bouteille juste entre mes jambes. Depuis cet après-midi, mes fesses me démangent, j’ai envie de sa grosse queue un peu de partout. Il me tarde de la sentir en moi. Lorsqu’il passe la porte, son visage s’illumine. Pendant qu’il ouvre la bouteille en me disant qu’il est très content de me voir, c’est sa ceinture et son pantalon, moi, que je déboucle. Le ...
... liquide coule dans les verres, son futal glisse sur ses chevilles, ma main dans son caleçon : je me sens déjà mieux. Elle est bien là, renflée, — On trinque ? dit-il en me tendant un verre.— On baise ? répondis-je en serrant ma main autour de son membre, le regard salace. De l’autre main, je me saisis du verre, percute traditionnellement le sien et en avale une gorgée. Rapidement dégagé de ses vêtements, il prend ma place sur la table, les jambes écartées pour que je puisse embrasser son intimité. J’admire quelques instants les proportions éléphantesques de ses organes ; ses grosses couilles m’aguichent autant que cette verge mi-longue et déjà bien lourde me fait saliver. Je me penche sur cet irrésistible ensemble, aspire son prépuce, puis fait lentement glisser sa verge en moi. — Elle te plaît toujours ma grosse queue ? chuchote-t-il en caressant mes cheveux. Tu aimes bien t’en occuper. Hein ? Tu lui fais tant de bien… Son goût se propage sur mes papilles lorsque, entre mes lèvres, je le décalotte. Comme des phéromones, cette combinaison de goût et d’odeur musquée de son sexe fort agit sur mes instincts, libérant tous les verrous de mon corps. En appui sur ses bras derrière son dos, il avance son bassin tout au bord de la table. La gravité s’empare de ses bourses, les transformant en gros sac de lest. D’abord cajolées dans ma main, c’est ma bouche qui l’un après l’autre les aspire, tire dessus, ou encore les mordille. — Hummmm… tu sais me faire bander, toi. Je prends une gorgée ...