11 - Voir, et... être vu !
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
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Oral
double,
hdanus,
... de champagne et sans l’avaler, reprends son gland en bouche en branlant l’obèse hampe. Des centaines de bulles éclatent au contact de nos muqueuses, le faisant glousser. Son nœud ainsi emprisonné, attaqué par ma langue et le liquide glacé, tressaute d’excitation. Ma tête pivote de tous sens pour le stimuler plus efficacement avant d’avaler sa queue d’un bon tiers pour bien la lui pomper. Il bande maintenant dur et son foutre m’intéresse bien plus que le meilleur des champagnes. Je ne lui laisse aucun répit, ma bouche fond sur lui comme un aigle sur une proie, changeant d’angle à chaque aller-retour. Une main sous ses couilles et l’autre accrochée à la hampe, le branlant en cadence, je m’accroche à son vit bien plus qu’à la vie. Ma salive coule le long de mes doigts tant mon addiction à ce membre me fait baver d’excitation. Son nœud enfle encore, les corps spongieux se gorge de sang, les corps caverneux écartent davantage mes doigts qui déjà ne font pas le tour de sa queue : il est mûr. Les couilles remontent jusqu’à la base de la hampe tendue à rompre. Son ventre plat se creuse trois fois de suite au rythme de son diaphragme avant de s’écraser dans un spasme équivoque. Les muscles ceinturant l’urètre claquent contre mes doigts pour propulser un énorme jet de sperme droit contre mon palet, compromettant l’étanchéité de mes lèvres en remplissant un espace déjà comble par la simple présence en moi… de sa queue. J’avale alors qu’il gicle de nouveau, me servant de son nœud comme ...
... le piston d’une seringue pour m’injecter son foutre dans l’estomac. Mes doigts serrent la hampe en remontant compulsivement, comme pour mieux en extraire le nectar qui, jet après jet, nourrit un peu plus le besoin de le sucer de nouveau. Son sexe hors norme aux capacités éruptives extraordinaires finit par désamorcer, toute bonne chose à une fin. L’homme halète, son poing serré dans mes cheveux, immobile, pire même : inerte. J’extirpe les quelques larmes que son puissant dard daigne encore m’offrir avant de lâcher son sexe pour un repos que je désire des plus courts. Lui faisant face, je le regarde, souriant, satisfait, non pas de ce que je lui ai donné, mais du plaisir que je viens de lui arracher pour mon compte. — Tu es de plus en plus doué, lâche-t-il à voix basse.— Avant toi, je n’imaginais pas qu’un homme puisse décharger autant, ni aussi souvent. Tu comprends pourquoi j’aime tant te sucer ?— Ça s’arrose, une pipe pareille. répond-il en levant son verre. À la santé de ton petit cul !— Je me demandais si tu l’avais déjà oublié. dis-je en m’auto-claquant la fesse. Un cul pareil, ça s’arrose ! Au risque de dénaturer l’exquis goût de son sperme, je bois un peu de champagne. L’alcool semble directement passer dans mon sens, ajoutant une pointe d’euphorie à mon dévergondage déjà bien exacerbé. — Patrick, j’ai envie que tu me baises. Occupe-toi de mes fesses, s’il te plaît. Loin de me repousser, il se lève. De tout mon long, j’étale mon buste et une jambe sur la table, laissant ...