Pulsion passion - Histoires de Sexe

Pulsion passion

... amoureuses. Le lourd véhicule se met en mouvement. Tout en me dévisageant, Jim s’adresse au chauffeur. — Eh bien mon cher Max ! La chasse a-t-elle été bonne ?— Pas vraiment Monsieur. Vous connaissez mes goûts.— Oui, je les connais, réplique son patron. Vous êtes exigeant et vous avez raison. Jim allume la lumière du plafonnier. Il se penche et me saisit par les cheveux, me forçant à me tenir dans le champ de vision de son chauffeur. — Comment trouvez-vous celle-là ? grince-t-il. Max m’observe à la dérobée dans son rétroviseur. — Très bien, Monsieur. J’ai eu l’occasion tout à l’heure de me faire une idée de ses atouts. Jim me saisit par les coudes qu’il ramène en arrière, me forçant à bomber la poitrine. — Vous êtes amateur de beaux seins, je crois.— Tout à fait, Monsieur. En quelques gestes rapides, il a retiré mon chemisier et je me retrouve seins nus. Avec des gestes vulgaires, il soupèse ma poitrine. Max a un sifflement d’admiration. — Elle vous plaît, n’est-ce pas ?— Certes, Monsieur.— Eh bien je vous l’offre, déclare Jim.— Merci, Monsieur. Mon sang ne fait qu’un tour. Je regarde Jim avec incrédulité. — Qu’y a-t-il ma chère ?— Vous n’allez tout de même pas…— N’avez-vous pas déclaré m’appartenir ? Je fais donc ce que je veux de vous. C’est le jeu.— Oh non ! Je vous en supplie.— Max est un garçon très propre, ajoute Jim. Et une pute comme toi n’est pas à un client près. Je cherche le regard de mon mari, m’attendant à ce qu’il intervienne. Mais ce salaud est trop occupé à ...

... tripoter les seins de Sophie qui s’est lovée contre lui. Notre véhicule pénètre dans un stationnement souterrain privé et s’immobilise près d’une voiture blanche. Max descend et vient ouvrir la portière. Jim m’oblige à sortir et m’administre une claque sonnante sur le derrière. — Allez, ma belle, dit-il en riant. Au boulot ! Pendant ce temps, Alex et moi, on va se payer un peu de bon temps avec mademoiselle. Un cul pareil se doit d’être visité. La portière se referme sur eux. Je suis dans un état second et ne suis pas même capable de me mettre en colère. Je suis là, comme une idiote, les bras ballants, la poitrine nue dans un stationnement. J’étais persuadée que, ce soir, je réaliserai enfin le fantasme qui me tient depuis des semaines avec cet homme qui me rend folle d’excitation. — Par ici, Madame, je vous prie. Max est un personnage très courtois. Il me tend mon pardessus et m’aide à le mettre. — Où allons-nous, dis-je sans voix.— Il y a un hôtel juste en dessus de ce stationnement. Désirez-vous que je prenne une chambre ? Alors la rage monte soudain en moi. Ces salauds s’imaginent peut-être que je vais me dérober ? — Inutile. Faisons ça ici, si cela ne vous dérange pas. Je me couche avec détermination sur le capot du véhicule voisin. — Venez, dis-je en ouvrant les jambes. Déjà très excité, Max ne perd pas de temps. Il sort son sexe déjà bandé, le recouvre d’un préservatif et vient se placer entre mes jambes. D’un coup de rein puissant, il me pénètre entièrement. Je pousse ...