Pulsion passion
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
f,
fh,
couple,
couplus,
extracon,
Collègues / Travail
prost,
parking,
caférestau,
voiture,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
préservati,
pénétratio,
jouet,
sm,
fouetfesse,
init,
portrait,
couple+h,
fsoumisah,
... je plaquais au bon endroit. Me faire surprendre par mon mari dans une chambre de motel en compagnie d’un amant eût été plus noble. Là, je me sentais aussi ridicule qu’une écolière qui se fait prendre dans les toilettes du lycée. — Eh bien… ! C’est tout ce qu’il a dit avant de refermer la porte. Combien de temps suis-je restée seule, balancée comme une feuille morte d’un sentiment à l’autre. Ne sachant quelle attitude adopter lorsque je sortirais de ma tanière. Lui faire une scène ? Lui faire porter la responsabilité de mes actes en clamant sa médiocrité ? Un comportement très féminin que je me refusais d’adopter. Bien sûr, le connaissant, il se serait facilement culpabilisé, mais je ne pouvais tout de même pas être aussi injuste, simplement parce que mes fantasmes sont un peu étranges. Tout lui dire ? Lui avouer mes penchants, mes réactions émotives et physiques face à certaines situations ? Lui avouer mes adultères aussi ? Non, peut-être pas. Ce serait lui faire de la peine gratuitement. Le rendre encore plus petit dans un rôle de mari cocu. Après quelques bonnes respirations, je suis allé le rejoindre. Il était dans son bureau et s’affairait dans son courrier. Ce qu’il m’a dit, lorsqu’il m’a vu arriver, m’a totalement désarmée : — Je t’ai déjà dit que je ne suis pas du tout d’accord avec toi lorsque tu dis avoir de la cellulite. Tu es très bien comme ça, ma chérie. Se foutait-il de moi ? N’avait-il vraiment pas découvert mon manège ? — De plus, tes traitements avec cet ...
... appareil terrifiant ont l’air de te faire souffrir. J’avais mal pour toi en voyant l’expression sur ton visage. Quel con ! J’avais envie de rire. L’expression que j’avais lorsqu’il est entré était celle d’une femme sur le point de s’envoyer en l’air. — Au fait, a-t-il enchaîné, mon patron vient d’appeler. Il désire m’entretenir d’un sujet délicat et m’invite au restaurant. Aimerais-tu m’accompagner ?— Ton patron ? Ton chef de département, tu veux dire.— Non, mon patron. Il est arrivé d’Espagne cet après-midi. Il a l’intention de s’installer définitivement dans la région. À cet instant, mon corps entier s’est mis à trembler. J’ignore encore comment je suis parvenue à retrouver mes esprits et à être prête à temps pour sortir. Sous la douche, l’idée m’est venue de me soulager du poids de cet orgasme avorté qui n’arrangeait en rien mon état de nervosité, mais je n’en ai eu ni le temps, ni l’intimité. J’ai été très surprise de constater que mon mari entretenait une relation beaucoup plus privilégiée que je ne le supposais avec Jim, son patron. Jamais je ne m’étais imaginée qu’ils s’appelaient par leur prénom et utilisaient le tutoiement entre eux. Il faut dire que le peu de dialogue que nous entretenions à la maison ne portait pas sur son emploi. Étrange sentiment que celui d’être attablé en face d’un homme avec qui j’avais commis les pires obscénités, sans même qu’il le sache. Se souvenait-il de notre première rencontre dans son bureau ? — Vous êtes ravissante, chère madame. Cette ...