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Soumise au destin (1)
Datte: 14/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
... discret m’indiquant d’écarter à nouveau les jambes. J’obéis. Il eut une vue de ma chatte épilée, avec mes grandes lèvres toutes roses bien ouvertes. En même temps, il huma ma culotte et ferma les yeux en appréciant chaque flagrance. Cette image resta gravée en moi. C’était d’un érotisme à m’en couper le souffle, je devins complètement folle. Je n’avais qu’une envie, qu’il me prenne ! Qu’il me prenne maintenant, tout de suite ! Qu’il me pénètre de son sexe que je devinais dur et épais. Je voulais être à sa merci et qu’il me lèche partout. J’avais envie que sa langue me fouille délicieusement, qu’il avale mon jus, jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche. J’étais plus que prête à le recevoir. kfekggca Seulement, je dus faire face à ma frustration durant tout le reste du trajet. Mon inconnu se pencha pour prendre son ordinateur dans son sac et passa tout le reste du temps concentré dessus. Je me sentis abandonnée et honteuse, doutant même d’avoir vécu cette scène. Mais dès que je refermais les jambes, il levait la tête et me pénétrait du regard jusqu’à ce que je les rouvre. Il haussa la tête discrètement et ...
... retourna travailler. A croire que malgré sa concentration, il sentait quand j’avais les jambes écartées ou pas. Je passais donc le reste du trajet drapée dans ma frustration et décidais de reprendre ma lecture pour passer le temps. Après tout, je devais me concentrer ! J’avais un entretien d’embauche dans moins de deux heures et je ne me sentais plus du tout prête. D’autant plus, que j’y allais excitée comme une puce et terriblement sous tension. Arrivée en gare de Lyon à Paris, tout le monde se leva et chercha ses bagages. Je ne vis pas mon inconnu sortir de l’autre côté du wagon sans même me lancer un regard, ni me dire au revoir. Je sortis donc du train, nue sous ma jupe, le froid frôlant mes cuisses et mes fesses. J’étais comme anesthésiée. Je n’arrivais pas à croire ce qui était arrivée. Je ne comprenais pas mon comportement. C’était la première fois que j’étais si dévergondée. Je me sentis sale. Pire, je n’arrivais surtout pas à croire qu’il était parti sans même m’accorder un regard, avec en souvenirs ma culotte qui plus est ! Pas le choix, je devais oublier cette histoire et me concentrer sur mon entretien.