La femme-cul
Datte: 15/02/2021,
Catégories:
fh,
Oral
fgode,
fdanus,
fsodo,
... monde, c’est d’un chiant ! — Alors, tu es toujours partant pour rencontrer la femme de tes fantasmes ? me demande-t-elle discrètement en rigolant. J’ai l’impression qu’elle se moque de moi. Mais j’acquiesce du bonnet. Après tout, on verra bien. — Bonsoir, ma petite puce ! lance-t-elle joyeusement à la caissière, lorsque c’est enfin notre tour. Comment ça va, Cricri ? C’est alors que je comprends que la caissière en question c’est la fameuse Christine, Christine la sodomite, dite Cricri. Pas spécialement jojotte la caissière, et surtout pas souriante. Ça ne m’étonne pas trop qu’elle vive seule avec cet air renfrogné. — Christine, je te présente Paul. Paul je te présente Christine. Paul c’est le copain dont je t’ai parlé ce matin… Christine tourne les yeux vers moi, un petit signe de tête mais pas le moindre sourire et simplement un « bonjour », hospitalier comme une porte de prison. — À quelle heure tu termines ce soir, ma puce ?— Vers vingt heures.— Et tu es à pied ?— Oui.— Paul pourrait venir te chercher et te raccompagner.— Ce serait vraiment avec plaisir, que je me crois obligé d’ajouter.— Huit heures et quart devant la porte, précise Cricri mécaniquement. « Avec plaisir » : je ne sais pas, elle a l’air tellement aimable ! À la sortie du magasin, Virginie me demande ce que j’en pense : — Elle a l’air très gentille.— Oh, tu m’agaces avec ta langue de bois ! J’ai vu ton air tout à l’heure… Mais tu as raison, c’est vrai qu’elle n’est pas très gracieuse, tu m’étonnes qu’elle ...
... soit toute seule ! Une vraie gueule de con. Ecoute, tu n’as qu’à la raccompagner chez elle et puis bye bye, elle est vraiment trop tarte. 20 h 15, j’arrive devant la porte du magasin. Elle est là, elle m’attend. Tout juste si je ne me fais pas engueuler parce que je suis à l’heure. Elle s’engouffre dans la voiture sans faire de commentaire. — Alors, votre journée s’est bien passée ? Elle ne répond même pas. Mais, tandis que je prends les boulevards, elle me lance : — Ecoute, tout d’abord on se tutoie, car je peux pas baiser avec un mec que je vouvoie… Ensuite, épargne-moi tes commentaires à la con. Virginie m’a tout raconté. Alors on est adulte et on joue franc jeu. C’est vrai que j’aime la sodomie, que c’est un de mes fantasmes. J’ai été initiée quand j’étais jeune, dans un camping, par un homme plus âgé qui m’a donné énormément de plaisir de ce côté. Alors, si la sodo te branche et que tu sais y faire, et si t’en as envie, et bien pas de problème, je suis partante. Mais surtout pas de chichis, t’es là pour mon cul, pas pour faire des discours. Aucun sentiment, elle est froide et distante. Rien de bien emballant. Nous arrivons chez elle. Elle habite deux étages au-dessus de Virginie, juste en dessous des toits, deux petites pièces presque pas meublées, elle doit se faire chier à cent sous de l’heure. La porte à peine fermée qu’elle laisse tomber sa jupe. Elle ne s’embarrasse pas de préliminaires et il lui faut aussi peu de temps pour retirer sa culotte. Elle va directement ...