La femme-cul
Datte: 15/02/2021,
Catégories:
fh,
Oral
fgode,
fdanus,
fsodo,
... fondement. Et avec l’autre main je frotte sa chatte clairsemée. Elle n’en peut plus : elle crie de toutes ses forces, une jouissance inhumaine sort de ses entrailles. Ensuite, je contemple un bon moment ce gros plug obscène qui émerge de son fessier. — Hummm. T’aimes m’éclater le cul ? me demande Cricri, repue.— Oui et t’es vraiment obscène avec ton cul percé— Alors vas-y, recommence, j’ai encore envie de ta bite en moi. Cette fois-ci, je l’installe sur le dos. Je sors le plug et glisse en elle comme dans du beurre. — J’aime me faire ENCULER ! crie-t-elle bien fort pour que tous les voisins entendent, à croire qu’elle a laissé la fenêtre entrouverte exprès. Je la bourre bien fort. Elle me regarde avec des yeux particulièrement lubriques. Elle en veut encore, j’accélère la cadence, je lui explose l’anus. Encore dix bonnes minutes et je m’épanche en elle. Sa chatte est intacte, inviolée. Alors que je me retire, et elle commence à se la branler. Je viens à son secours pour la lui lécher. Tout en lui dévorant le sexe, je sens l’odeur forte de son cul troué, particulièrement excitante. J’ai presque envie de recommencer. C’est elle qui m’en empêche, elle est un peu ulcérée après un tel traitement. Après avoir bien joui en se faisant bouffer, elle va chercher de la pommade réparatrice et s’en enduit les fesses. — Fini pour aujourd’hui ! Quand est-ce que tu reviens ? Mince alors, c’est une vraie obsédée. — Dimanche après-midi, je peux ?— Tu peux pas revenir avant ? J’ai envie que ...
... l’on s’occupe très souvent de mon derrière.— D’accord, je passerai un de ces soirs. Le soir en question, je la retrouve déjà engodée sur un engin de fort diamètre. — Je ne savais pas si tu allais venir, alors j’ai commencé sans toi. Je vois qu’elle a sorti la grosse artillerie : des gods, des plugs, il y en a plein sur la table. Je vais l’aider à se branler le cul. Elle est à quatre pattes sur le tapis, dans le salon. — Essaies-en un autre, j’ai envie de les essayer tous. Le trou de son anus est imposant, largement béant quand je retire le gode. Je lui enfonce un autre dildo. Il est plus long, je vais plus loin. Elle apprécie d’être bien remplie. Après cela, mon sexe nage dans son fondement, il est ridiculement petit face à l’énormité de l’ouverture. Alors je lui claque les fesses pour compenser. J’accélère la cadence comme un malade et ça lui fait de l’effet. Elle hurle sa jouissance par la fenêtre grande ouverte pour en faire profiter tout le quartier. Lorsque je retrouve Virginie quelques jours plus tard, elle me semble bien fade. Toutes les femmes, désormais, me semblent d’ailleurs bien fades. Je me suis peu à peu habitué à l’anus éclaté de Christine et à ses pénétrations hors normes. Son délire, maintenant, ce serait de se faire fister les fesses, mais nous n’avons pas encore essayé. D’autre part, elle aimerait aussi beaucoup me défoncer l’anus, mais j’ai encore un peu de mal à sauter le pas. Je la laisse me lécher et enfoncer ses doigts mais, pour l’instant, pas plus loin… ...