La femme-cul - Histoires de Sexe

La femme-cul

... s’agenouiller sur le canapé en me tendant son cul. Ses fesses, un peu plates, sont malgré tout appétissantes. Elles sont d’une blancheur immaculée. — Approche-toi et montre-moi si tu aimes sucer un cul. J’ai envie de ta langue dans ma raie. Au moins c’est explicite. Elle écarte ses fesses et me présente son petit trou brun. À genoux derrière elle je glisse ma langue dedans. Un goût assez âpre, une odeur assez forte, mais pas désagréable. Je n’ai guère l’habitude de sucer des culs, même ceux qu’il m’est arrivé de défoncer. Je m’applique néanmoins, je ne veux pas passer pour un incapable. J’enfonce la pointe de la langue, elle a l’air d’apprécier. Elle pousse son cul vers moi, elle m’encourage à aller plus loin. Je comprends bientôt qu’il faut que je rajoute mes doigts. Ils rentrent dans son œillet comme dans du beurre. Un doigt, deux doigts, son anneau semble très souple. — Branle-moi le cul avec tes doigts. Tu peux même en mettre trois, il y a du lubrifiant dans la commode. Ou alors tu lèches tes doigts. Tu fais comme tu le sens. J’aime ça qu’on s’occupe de mon cul ! C’est une vraie obsédée qui ne parle que de son petit trou. Dans la commode, il y a aussi des plugs, des godes, des boules anales, un spéculum, une poire à lavement, tout l’attirail du parfait sodomite. Je reviens vers elle, je bande comme un sagouin… rien que de savoir qu’elle se cherche des mecs pour se faire trouer les fesses… Et puis, si ça se trouve, ceux qui ne le font pas, elle les largue illico. Deux ...

... doigts, trois doigts, son petit trou percé, je l’assouplis, je le prépare : — Vas-y, ENCULE-MOI, bourre-moi le cul avec ta grosse tige. Je rentre sans trop forcer, entièrement, jusqu’à la garde. Je suis accueilli par un « Hummm » de reconnaissance. D’habitude les filles montrent certains signes de douleur lors de cette pénétration. Mais elle, non, pas du tout. Elle a l’air de vraiment aimer ça, son visage reste serein sur le coussin, alors j’y vais de bon cœur dans ses entrailles. Je la pilonne, je la martèle. Elle commence par gémir, elle finit par crier. La fenêtre est ouverte, les voisins doivent entendre. Elle me sent venir, elle jouit en même temps que moi. Ensuite elle se dégage. Je vois le gros trou que j’ai fait à son cul. Je trouve ça excitant de la voir ainsi percée. — Pas trop mal, j’ai bien joui… Mais la prochaine fois, sois plus imaginatif : tu peux varier les mouvements et aussi changer de position… J’ai des plugs anaux. Prends-en un gros et enfonce-moi-le profondément. Je saisis le plus gros, celui de plus gros diamètre. Celui-là va avoir de la difficulté à rentrer, en tout cas entièrement. Je commence à branler son cul avec. J’y vais fort, j’appuie bien. Finalement, petit à petit, il rentre plus à fond. Elle semble comme folle, elle crie, elle mord le coussin, j’ai peur de lui faire mal, mais non : « Vas-y, à fond, qu’elle me répète ». Je finis par rentrer l’engin surdimensionné jusqu’au fond de son cul. Elle exulte, elle aime ça. Je tourne l’objet dans son ...