Double méprise...
Datte: 16/02/2021,
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... ouvrant avec grand fracas les volets et la fenêtre. Elle claironnait de sa voix qui ne pouvait admettre de jérémiades « qu’à son âge, bien des garçons étaient déjà au travail ! ». Et en riant, elle lui enlevait avec autorité le drap pour le forcer à se lever. Mais voilà, cette année-là, Pierre avait pris la lubie de dormir nu. Et souvent le matin, il se réveillait doté d’une érection matinale qu’aucun pyjama ne venait cacher. Et lors de la première intrusion matinale de Catherine, avec ses gestes et sa manière forte de le sortir de lit, elle avait surpris Pierre dans sa nudité et sa flamboyante érection. Cette vision surprenante avait laissé Catherine soudain sans voix, le geste suspendu, les yeux exorbités. La gêne qui s’était aussitôt installée n’avait duré qu’une « poignée » de secondes. Catherine avait rabattu le drap au fond du lit et sans quitter Pierre des yeux, elle avait lentement avancé sa main et avait enveloppé son sexe raide et chaud. Puis, soulevant un genou, elle avait pris appui sur le lit et calmement, en lui souriant, elle avait entamé une lente et très excitante masturbation. La surprise passée, Pierre avait ravalé sa pudeur de garçon et avait apprécié la main qui venait le soulager de ses tensions de la nuit. Dadais aux mains encore inutiles, il n’avait pas tardé à s’épancher, en fermant les yeux pour ne pas trop rougir de confusion. Elle ne l’avait pas lâché pour autant, accompagnant le decrescendo de son sexe jusqu’à son ramollissement total. Puis, à ...
... l’aide d’un torchon, qui bourrait toujours l’une des poches de sa blouse, elle l’avait essuyé avec délicatesse et sans le moindre mot, ni commentaires, Catherine s’était éclipsée, non sans le rudoyer sur l’heure du lever. C’était le vrai premier contact charnel que Pierre éprouvait. Elle l’avait laissé sans souffle, les yeux encore révulsés de son plaisir, le ventre humide et poisseux de sa jouissance, décuplée par cette présence féminine, inattendue et si compréhensive. Pierre avait gardé de ce matin-là, un souvenir particulier. Emu, au point de bander à sa simple évocation, il se souvenait avoir traînassé toute la journée, l’esprit préoccupé par le lendemain et l’attitude qu’il devait avoir au réveil. Chaque fois qu’il croisait Catherine, dans la journée, il avait rougi et n’avait rien osé lui dire. Pourtant, une question revenait le hanter : « Reviendrait-elle le réveiller demain et lui donnerait-elle encore du plaisir ? ». Les craintes de Pierre avaient été vaines. Au matin suivant, Catherine n’avait en rien dérogé à ses habitudes. De bon matin, elle était entrée dans sa chambre, sans frapper. Elle avait ouvert fenêtres et volets et avait rabattu le drap. Pierre lui avait présenté sa nudité qui semblait attendre les gestes de la veille. Ils s’étaient souri, de connivence et de complicité. Elle avait approché sa main de son sexe palpitant d’impatience et avait remonté en même temps son ample blouse pour poser son genou sur la literie immaculée. Au passage, Pierre avait pu ...