1. Double méprise...


    Datte: 16/02/2021, Catégories: fh, ff, hh, fbi, hbi, fplusag, jeunes, religion, vacances, forêt, collection, amour, volupté, cérébral, revede, noculotte, Transexuels Oral 69, fsodo, hsodo, init,

    ... noter l’arrondi de la fesse, les courbes de son corps de femme dont il n’avait pas pris attention la veille. Alors qu’elle l’empoignait avec délicatesse, il avait approché avec quelques appréhensions une main tremblotante vers sa cuisse. Catherine n’avait pas cherché à échapper à sa main. D’un geste sec et généreux, elle avait largement déboutonné le haut de sa blouse, laissant échapper un sein lourd et laiteux, libre de sous-vêtements. Pierre avait relevé la tête à cette vue, aussi inattendue que la masturbation qu’elle lui distillait avec plus de lenteur que la veille. Puis, Catherine s’était emparée de la main de Pierre qui se crispait sur sa cuisse et l’avait portée sur son sein. Au contact de la peau chaude et satinée du sein, Pierre avait eu une sorte d’éblouissement extatique. Sous sa paume il avait senti palpiter le corps féminin, la peau se grener, le mamelon se rétracter et le téton pointer. Jamais il n’avait imaginé pareilles réactions. Jamais il n’avait osé pareille scène. Sa paume s’était électrisée au contact de la pointe du téton, cylindrique et granuleux qui venait inciter ses doigts à s’animer autour de lui. Et une fois encore, la jouissance l’avait surpris. Avec délicatesse, Catherine ne l’avait abandonné qu’une fois le repos atteint. Elle avait essuyé avec délicatesse la peau de son ventre en prenant garde de ne pas arracher les premiers poils qui l’ornaient. Et alors qu’elle était penchée au-dessus de lui, elle était venue déposer un léger baiser sur ses ...
    ... lèvres avant de s’échapper et lui rappeler l’heure fatidique du moment de se lever. Ce manège aurait pu durer toutes les vacances, car Pierre le trouvait satisfaisant. Pourtant, quelques jours plus tard, dans le courant d’une chaude après-midi, à l’heure de la sieste, alors qu’il s’ingéniait à construire une maquette pour calmer ses nerfs tendus et occuper son esprit, Catherine était passée dans les parages. Elle l’avait invité à la suivre, sous prétexte de venir lui donner un coup de main. Là-bas, tout au bout du jardin, à côté du poulailler, non loin du cellier où reposaient les grandes jarres d’huile et de vin, se trouvait le lavoir. L’eau de source coulait avec un bruit agréable et frais en cette saison. L’auvent abritait une odeur de lessive, de charbon de bois brûlé et de linge propre. Catherine s’était appuyée sur la margelle en pente douce du lavoir et avant que Pierre ne se soit totalement collé à elle, à sa demande, elle avait défait rapidement tous les boutons de sa blouse sans l’ôter totalement. Pierre avait pu contempler la nudité de cette femme. Il connaissait son sein, laiteux aux mamelons larges et aux tétons cylindriques et sensibles. Il avait entraperçu sa cuisse, brune et musclée. Mais il n’avait jamais vu son ventre et encore moins ce buisson noir corbeau, aux poils frisés et denses qui formaient un triangle presque parfait à la jointure de ses cuisses. En lui souriant, elle lui avait ouvert largement les bras, l’incitant à s’approcher d’elle, à coller son ...
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