Un Beau Mariage
Datte: 17/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Chapitre 1 : le mariage. C'était à la fin des années 80, à un mariage dans le centre de la France. Un de mes neveux épousait fort joliment la fille, non moins jolie, d'un riche éleveur du fin fond de l'Auvergne profonde. C'était un "grand" mariage où nous étions plus de 150 convives, qui rassemblait toute la bonne société de la région, le beau-père de mon neveu étant élu local. Il y avait là, comme à tous ces mariages de jolies femmes appartenant à la bonne bourgeoisie provinciale, dont le rang, le désœuvrement et le manque de distractions n'empêchent pas les femmes, d'avoir des fantasmes bien au contraire... Surtout dans ces coins perdus et quand même très isolés de la France profonde. Et là, ici comme ailleurs, même si les mois ont 30 jours, ils passent moins vite que dans certains endroits, surtout pour ces belles personnes! Les mariages, avec les enterrements, sont les seules "sorties sociales", où ces jolies femmes ont l'occasion de se montrer. En tout bien tout honneur ; mais avouons quand même que les premiers sont une cérémonie plus propice à certains fantasmes que les seconds...! Il y avait là, parmi d'autres jolies femmes, une qui en particulier retenait mon attention (et pas seulement la mienne, d'ailleurs!), 37 ans environ, peut-être un peu plus, belle rousse, rentrant dans les caractéristiques de ces jolies bourgeoises définies plus haut. Moi, j'avais à l'époque à peine la quarantaine... Et sans que je sois expert sur le sujet, ni constamment "en chasse", il ...
... faut le dire, ce genre de femmes m'attire et capte malgré moi mon attention... Justement, cela me trouble peut-être à cause de "ce je ne sais quoi" qui agit fortement sur moi, et cela d'autant plus que je ne sais pas le définir!... Cette jeune femme était la digne épouse d'un haut notable d'une petite métropole d'Auvergne. Il était une bonne vingtaine d'années son aîné et je tairai ici le nom par discrétion ; de même que dire sa fonction ce serait dire son nom... Donc, peu importe l'identité de ce monsieur, mais ce détail est important. Comme toujours dans ce genre de cérémonies, les toilettes des femmes sont très chics, suggestives et dans bien des cas, révélatrices des pensées et des fantasmes sous-jacents. La dame en question, que nous appellerons Marielle pour rester complètement discret, portait un bel ensemble à capeline, en mousseline très vaporeuse, de couleur orange et à impressions grises et brunes qui mettaient en valeur sa jolie crinière cuivrée... Des vêtements indiscutablement bien coupés et très bien portés qui présentaient une transparence discrète mais sans doute très étudiée... C'était d'ailleurs impossible qu'il en soit autrement, vu la "dimension" de la bourgeoise! La tenue laissait deviner et même un peu plus, une parure de sous-vêtements à trame orangée et grise, elle aussi, donc assortie à la toilette : soutien gorge, petit slip à bordure de dentelles et un porte-jarretelles qui tirait des bas ambrés, irréprochables. Bref, la classe... Tout cela restait ...