1. Un Beau Mariage


    Datte: 17/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... soirée fut sympathique, libre et détendue, Marielle fut nullement farouche au plan de la conversation, ni avare de ses genoux et de ses pieds que nous ne nous privions pas de joindre et de mélanger sous la table... Nous avons beaucoup dansé ensemble. Je sentais son ventre se coller à mon sexe et se frotter à moi, mais sans provocation, discrètement et en tout cas, personne ne pouvait remarquer une quelconque "mauvaise tenue" de sa part ou de la mienne.... Prétextant "un coup de chaleur" après danser, je l'entraînais un moment au dehors, jusque dans une des granges qui bordaient la vaste cour de l'exploitation. Là, dans l'encoignure d'un large portail de bois, sans oser s'appuyer aux murs poussiéreux sans doute, ni s'allonger dans le foin ou la paille, nous sous sommes étreints violemment... Nous nous sommes embrassés passionnément et de façon torride... J'ai peloté et sucé ses beaux seins, pris ses fesses à pleines mains, passé mes doigts dans sa fente brûlante et très mouillée... Elle me prit la verge, me la branla avec une énergie folle, me suça avidement, et se retournant lestement, elle remonta sur ses fesses sa petite robe de mousseline orange. Elle avait appuyé l'un de ses pieds sur la roue d'un engin remisé là, ce qui lui ouvrait bien l'entrejambes. J'écartais le bord du léger slip, et guidé par elle, je l'enfilais vigoureusement au con, bien à fond. Manifestement, elle appréciait de se sentir prise ainsi par le côté de son string, à la hussarde, et par une bite ma ...
    ... foi, plutôt en forme et bien raide... Elle jouit très vite, et très violemment, m'inondant de façon intempestive tout le bas ventre. Heureusement, mon pantalon de tergal beige avait eu la bonne idée de glisser jusque sur mes talons pendant l'opération et de ce fait, il fut épargné. Par contre ce ne fut pas le cas de mon slip que j'avais évidemment gardé, et même du bas de ma chemise.... Je m'accommodais tant bien que mal du problème en me rajustant. Entre le moment où nous sommes sortis et celui où nous avons rejoint les convives, il ne s'était pas écoulé plus de dix minutes! Dix minutes pendant lesquelles nous avions eu le temps de bien baiser... Vers 2 h, elle demanda à Gisèle de la reconduire. Ce fut là sa demande très officielle, en réalité de façon plus discrète, elle me demanda de les accompagner. Gisèle apparemment en fit autant avec mon ami Georges, et elle nous embarqua tous les trois à bord de sa superbe B.M.W. gris métallisé. Il faut savoir que pour rejoindre la ville, il y avait environ 35 kms d'une route de campagne peu roulante et toute en virages... J'avais pris place à l'arrière avec Marielle, je la caressais avec ardeur et elle me le rendait bien... De temps à autre, je quittais ce que j'étais en train de faire pour porter une brève attention à ce qui se passait à l'avant du véhicule : Gisèle apparemment avait un nouveau levier de vitesse et elle-même devait écarter très largement les cuisses... C'est que j'en déduisais au vu des soubresauts et des variations ...
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