1. Un Beau Mariage


    Datte: 17/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... brusques de vitesse de la voiture, qui n'accélérait pas régulièrement... Bientôt je fus surpris par les cahots que semblait faire la route et je vis dans les phares que nous étions dans un chemin forestier... Je ne dis rien mais Marielle remarquant ma curiosité me dit : - " Ne t'inquiète pas chéri, Gisèle et son mari ont un délicieux pavillon de chasse à 5 minutes de la grande route... D'ailleurs nous arrivons ". Je passe les détails sur le pavillon, délicieux et très confortable, champagne, etc. J'appris incidemment qu'elles y amenaient parfois quelques amants, mais très peu souvent, comme le précisa Gisèle en souriant : - " Ici tu sais, c'est mortel on ne voit pas âme qui vive et autre chose non plus, d'ailleurs! Mais par contre tout se sait très vite... On ne sait pas comment cela se produit, mais le moindre geste, la moindre chose est immédiatement sur la place publique et colportée... Aussi Marielle et moi devons faire très, très attention. Il n'y a que Paris et parfois Clermont-Ferrand, et encore là : prudence, pour nous permettre quelques folies de temps en temps..." Dans la pénombre calculée du lieu, les deux femmes étaient très belles. Je découvris là, à la lumière tamisée de la grande salle du pavillon, que la rousse Marielle avait une toison de feu, déjà fort mouillée et collée de cyprine, d'une couleur absolument "poil de carotte" du plus bel et du plus inattendu des effets... Sa fente fine et bien dessinée, ne laissait voir à l'extérieur, pratiquement rien ...
    ... découvrir des petites lèvres ni de son trou de femme. Tout était à l'intérieur des grandes lèvres, fines elles aussi et peu renflées, qu'il fallait écarter pour accéder aux délicats replis féminins... La blonde Gisèle, elle avait une fente d'une pilosité assez peu fournie, mais très impressionnante, vraiment. Non par la taille des trous, mais par la dimension en longueur et en développement de ses lèvres, les grandes comme les petites. Ces dernières étaient superbes, nettement en deux parties : une partie antérieure, descendant du clitoris et bordant le trou à bites, pendait d'une hauteur équivalente à la largeur de trois doigts ; tandis que vers l'arrière, ces petites lèvres étaient moins pendantes car moins longues, mais très épaisses et très bien "dentelées". Les grosses lèvres elles, bien turgescentes et épaisses comme deux doigts, étaient très renflées et très longues, du pubis jusqu'à la rosette... Dieu qu'elle fente! Ce fut un délice que de lui sucer et d'aspirer ces petites lèvres soyeuses, lisses, fines, vibrantes et frémissantes. Son truc à la belle Gisèle, s'était de se faire lécher, sucer et engoder en s'exhibant du mieux possible... De plus, elle adorait se branler en donnant à voir sa vulve très ouverte... Il est vrai qu'avec une fente pareille, on comprend qu'elle soit prédisposée à ces situations! Gisèle avait, en effet, une impressionnante collection de godemichets, au moins une quinzaine et encore, elle n'avait pas dû tous les sortir du placard à malice et à ...
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