L'Aurore d'une autre vie (17)
Datte: 18/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... évidemment ! Surtout qu’elle peut faire plus que sucer, parfois. Tiens, c’est là. — Merci. J’entrai et me soulageai la vessie au point d’en râler de plaisir. Je veillai à bien nettoyer mon gland proprement, car j’espérais qu’il n’y ait pas qu’Adeline qui fasse une fellation, ce soir ! Environ une bonne heure plus tard, après avoir dansé avec quelques filles, je trouvai Aurore au buffet en train de faire un peu le ménage de gobelets et bouteilles vides, histoire de faire de la place. Avant de l’aider, je posai mes mains sur sa taille et osai coller mon bassin contre ses fesses, le sexe pleinement en érection. Je me penchai sur son oreille : — J’ai vraiment très envie… — Tu ne veux pas attendre encore un peu ? — Non. Tout de suite… Tu me plais, je t’aime. Peu importe si les gens me voyaient en ce moment, cette situation était tellement jouissive ! Susurrer des mots tendres et chauds à ma cousine, me frotter sensuellement contre elle, contre son derrière… Plus les secondes s’écoulaient, plus je la désirais. Qu’elle était belle dans sa robe noire ! Aurore me prit par la main, au milieu des danseurs, et nous atteignîmes rapidement sa chambre qu’elle ferma à clé derrière elle. Même si les basses de la musique et le brouhaha du salon s’entendaient, nous nous sentions isolés et seuls. En soi, c’était le cas : personne avec nous dans cette pièce. Ma chérie s’approcha, me poussa et je tombai assis sur le lit. Excitation et sensualité extrêmes, la voilà qui monta sur le matelas pour ...
... me chevaucher sur la braguette, mit un bras derrière mon cou et l’autre dans mon dos, puis commença des baisers claquants de l’autre côté du cou, le tout agrémenté de soupirs de désir. Ses cuisses nues, en angle droit sur mes hanches, avaient leur haut caché par le tombant de la robe. Cette belle robe noire pailletée comme une voie lactée. Je ne pus m’empêcher de penser que j’allais mettre mon sexe là-dedans, en tous cas dans ce que cette robe renfermait. — Tu portes une culotte ? — Oui… Elle continuait de m’embrasser chaleureusement avant d’enlever quelques premiers boutons de ma chemise. Ç’aurait été incroyablement excitant qu’elle n’ait rien mis en se changeant, sachant très bien ce qui allait arriver au cours ou à l’issue de la soirée. Bah ! De toute façon, la culotte, elle ne l’aura plus alors pourquoi s’en soucier ? Je me mis à l’embrasser et la caresser très fort à mon tour, mort d’envie. Une envie de la prendre, de la posséder, de la croquer littéralement. De n’être plus qu’un avec cette fille que j’aimais. Mes doigts se crispaient sur le tissu étoilé avant que je n’écarte les bretelles de ses épaules et les fasse tomber sur ses bras. Aurore s’écarta quelques secondes de moi pour se démettre de cet habit et le laisser tomber le long de son bas-ventre. Son soutien-gorge noir était splendide par sa simplicité. Je l’avoue, j’ai rarement trouvé de la beauté dans la lingerie. Sans doute suis-je peut-être trop jeune ? Ou que je n’ai jamais testé ? Disons que les seules fois ...