L'Aurore d'une autre vie (17)
Datte: 18/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... que j’en ai vu, c’était dans un contexte plutôt vulgaire. Dans du porno, pour être précis. J’en parlerai avec Aurore un jour, mais pas maintenant. Douce ivresse que celle procurée par cet instant de félicité. L’alcool aidait sûrement à l’affaire, mais je sentais que la majorité de ce bien-être était dû au fait d’être ouvertement désiré. Désiré par une jeune fille avec qui je vivais un amour partagé. Je ne raconterai pas l’état de ma verge en cet instant. Alors que ma cousine avait à présent ouvert ma chemise en entier, j’allai chercher quelque chose dans ma poche arrière de pantalon que je montrai : une pochette de préservatif. — Mais pourquoi t’as ramené ça ? me demanda Aurore avec amusement. On n’en a plus besoin, maintenant ! — J’ai préféré être prudent. On dit que la pilule c’est pas génial avec l’alcool. — Oh, t’en fais pas pour ça, va ! Tu me connais, je l’ai bien prise. — Je n’en doute pas, c’est pour les effets que je m’inquiète. Pour éviter d’être complètement tue-l’amour, j’enchaînai sensuellement. — Ça ne nous empêche pas d’avoir du plaisir ensemble… Ça va pas nous empêcher de faire l’amour… — C’est comme tu veux, écoute, fit-elle avec un sourire. Je préfère sans, perso, mais si ça t’amuse… — Ça m’amuse, clos-je avec malice. Je préférais de loin perdre éventuellement un petit peu de plaisir mais être sûr de ne pas faire de bébé. La pochette fut posée sur la table de nuit et je pris immédiatement Aurore dans les bras pour nous faire basculer ensemble le long du ...
... lit. Elle enleva sa robe qui s’était retrouvée à ses genoux, et j’embrassai tout son corps qui m’avait manqué depuis plus de dix jours. Et encore, je n’en avais finalement que peu profité lors de notre petite partie du premier janvier. Son ventre, ses cuisses, ses pieds, ses bras, ses mains. Je dévorais tout des lèvres et des yeux. Bien sûr, j’avais juste envie de me jeter sur son sexe mais… soyons un peu galant tout de même. Trop serré dedans, j’enlevai à la fois mon pantalon et mon caleçon, ainsi que les chaussures et les chaussettes. Être nu auprès d’elle me faisait du bien, et enfin ma queue pouvait être dressée librement. Comme dans un état second, je la frottais à sa cuisse pendant mes baisers et mes caresses. Ça n’avait pas l’air de lui déplaire. Ah, cette bouche ! Cette bouche aux lèvres roses que j’embrassais sans lassitude. Cette bouche qui avait sucé un petit nombre de bites dont la mienne mais qui restait pourtant propre, cette simple idée me faisait fantasmer. Certains en seraient rebutés, mais moi, m’imaginer des tubes de chair ayant été embrassés, léchés toujours avec amour, et penser aux spermes qui ont pu s’écouler sur cette langue et ce palais me faisaient embrasser ma cousine avec plus de gourmandise encore. Un fantasme gay ? Peut-être pas jusque là, mais me dire qu’elle a plu à d’autres, que je couchais avec une fille qui était active sexuellement me grisait. Mais je n’y tenais plus. J’allai voir ses seins. Les malaxer, les embrasser à travers leur tissu ...