L'Aurore d'une autre vie (17)
Datte: 18/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... l’amour… Au fur et à mesure du temps, j’avais des frissons qui me parcouraient toute la peau. Il en était de même pour Aurore, dont les picots s’érigeaient sur tout son corps. Je me laissais aller de temps à autres à des accès de vigueur, claquant contre elle, avant de revenir à un rythme plus posé et plus doux. Aurore aimait ça et on l’entendait. Ses poings tiraient les draps et son vagin entravait mon sexe par à-coups. Elle me demandait de continuer, même si je ne m’étais pas arrêté. Tandis que je la tenais par la hanche, de mon autre main je lui caressai les lèvres chaudes et trempées ; parfois d’était l’anus, sans pour autant lui enfiler de doigt. Mais il faudrait un jour que je parle de la sodomie avec elle ; ça me plairait tellement d’essayer, et alors si en plus c’est avec la fille que j’aimais… Je me retirai et demandai à ma cousine de se mettre sur le dos, ce qu’elle fit en un rien de temps. Elle joignit fermement ses cuisses, jambes levées. Je les lui pris telles quelles, les posai contre moi et repartis à l’attaque pour délicieusement éprouver une étreinte de ma queue dans son vagin serré. Cette position fit son effet à tous les deux, nos sens étaient encore plus sollicités et le plaisir proportionné. Entrant d’un seul coup et ressortant tout doucement, je me plaisais à coller mes couilles contre cette belle fille. C’était un petit contact de plus. Mon rythme, apparemment, lui était très plaisant. Sans en être réellement conscient, j’adaptais mes va-et-vient en ...
... fonctions des états de ma cousine. Me voilà maintenant en rythme rapide et régulier, à taper contre ses cuisses. Aurore gémissait, soufflait, râlait, faisait silence, grimaçait et secouait sa tête dans tous les sens. Et moi, dans sa chaleur vaginale, je prenais mon pied tout autant. J’embrassai, léchai et mordais tendrement son mollet, emporté par l’extase et la vigueur. Alors qu’elle les gardait levées, je pris ses jambes par les chevilles et les écartai en V, pour regarder ma chérie entre elles. Ses yeux se baissèrent dans les miens et Aurore, en continuant de souffler et de gémir, me sourit. Ma verge droite ne fatiguait pas, mais je la sentais venir à bout. J’étais habité par le plaisir et l’excitation, ce qui me donnait envie d’atteindre l’orgasme. Je lâchai les chevilles pour attraper très ferment les cuisses et envoyai de puissants coups de reins qui claquaient très esthétiquement. Je contractai ma queue autant que possible pour retenir mon éjaculation, jusqu’à ce que la pression soit trop forte : là je relâchai tout et mon tir fut particulièrement puissant, jouissif, et à ce que je sentais, conséquent. Dans un grand sourire, mes râles résonnèrent dans la pièce, alors que je m’étais complètement enfoncé dans le délicieux vagin, le pubis contre les lèvres. Sans sortir, je me penchai sur ma cousine pour l’embrasser et la caresser tendrement, encore un peu essoufflé mais heureux. Il était de même pour elle, bien qu’elle n’ait pas joui, toujours pas. C’était frustrant ! Se ...