L'Aurore d'une autre vie (17)
Datte: 18/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... dire qu’il n’y avait qu’à moi que ça faisait autant de bien me persuadait que je n’étais pas un « bon baiseur », un bon amant. Il est vrai que j’ai tendance, au cours des rares fois où nous avons pu faire l’amour, d’éjaculer rapidement à cause du manque de sexe… Mais je veillais toujours au plaisir d’Aurore et ne me comportais pas comme un égoïste ! Peut-être ne la doigtais-je pas assez ? Peut-être fallait-il lui lécher davantage la vulve, la lui caresser ? Je confesse qu’à cause de mon peu d’expérience des femmes, il devait y avoir des choses que je ne savais pas pour leur faire beaucoup de bien. En regardant Aurore dans les yeux et en lui souriant, je jurai intérieurement qu’un jour, elle aurait un orgasme. Qu’un jour, elle s’envole. Et que nos parties de sexe ne soient plus seulement fabuleuses pour moi. Que ma cousine n’ait plus seulement beaucoup de plaisir. Peut-être que pour cela, nous aurions besoin de nous « voir » plus régulièrement qu’une fois tous les mois, à peine. J’avais jeté mon préservatif, et nous voici allongés face à face, à nous caresser, nous embrasser, nous sourire et à regarder le corps de l’autre. Mis à part nous complimenter sporadiquement sur notre physique, et se susurrer de nombreux « Je t’aime », nous n’avions pas envie de parler. C’était certainement la même chose pour elle : je voulais plus avec Aurore. Ce n’était plus seulement faire l’amour ou baiser, mais construire quelque chose de solide aux côtés de cette fille fabuleuse. Peu importe ce ...
... que diraient nos parents : nous emménagerions ensemble, même dans un petit studio s’il le faut. Il faudra bien de toute façon qu’ils apprennent la vérité, soit par nous soit par eux-mêmes, mais je préférais – et c’était sans doute le cas d’Aurore aussi – que nous ayons déjà notre « foyer », afin de ne plus avoir trop d’attaches par notre famille. Dès que nous nous fûmes remis de nos émotions, il était temps de se rhabiller et de retrouver les invités à la fête. Nous sortîmes ensemble en nous prenant par la taille et, au moment de nous séparer, je fis glisser ma main le long de son dos pour finir sur ses belles fesses rondes. Au cours du reste de la soirée, Aurore et moi fûmes gentiment charriés par les personnes qui ne nous retrouvaient pas, et qui avaient compris que nous nous étions isolés pour « nous la jouer seuls ». Le temps passant, les invités rentrèrent petit à petit jusqu’à ce qu’il n’y ait plus personne d’éveillé. Adeline et une autre fille étaient endormies chacune de leur côté du canapé, tandis qu’Aurore et moi retournions dans la chambre pour nous reposer cette fois ; il était 5 heures du matin et nous ne tenions plus debout. Vu que je n’avais pas de pyjama, elle tint à dormir toute nue elle aussi. C’était en plus une bonne occasion pour profiter de ce plaisir du sommeil peau contre peau. Le lendemain matin, j’émergeai à presque onze heures… ah non, onze heures vingt. Dans un sursaut de panique, je quittai le lit et m’habillai le plus vite possible, de peur que ...