Apprentissage - Histoires de Sexe

Apprentissage

Enfin rentrée à la maison, Anne repense à sa matinée… Comment avait-elle pu oser ? Elle n’en revenait toujours pas, mais d’un autre côté, elle se dit que pour une fois… Elle se sent à nouveau plus femme. Elle va dans sa chambre, pose ses paquets sur le lit, puis elle repart préparer la table pour ce soir. Les verres, la bouteille de champagne au frais… La livraison du traiteur qu’elle vérifie. Et elle n’a même pas pensé à remettre de culotte. Au fond d’elle-même, se retrouver ainsi, presque forcée, lui plaît. Le temps passe. 17 heures, il est temps de se préparer. Jacques revient dans moins d’une heure. Elle rejoint sa chambre. Devant sa glace, elle ôte son chemisier, ouvre son soutien-gorge et libère ainsi ses seins, toujours aussi lourds, tétons encore durs, presque indécents. Elle fait tomber sa jupe et se retrouve nue devant son miroir. Elle se trouve belle ainsi… Juste encore une petite bande de poils sur le pubis, ses lèvres bien lisses… Elle ne peut s’empêcher de les caresser un peu, de les ouvrir… « Véronique a raison » pense-t-elle.« Je suis désirable, belle… Pourquoi ai-je l’esprit ainsi aujourd’hui ? L’angoisse de ce soir sûrement. » Elle va dans sa salle de bains, commence à faire couler l’eau. Elle se recoiffe un peu, attache ses cheveux et se plonge dans son bain avec délectation. Elle commence à se laver, à passer ses mains pleines de gel parfumé sur son corps… Drôle d’impression, une fois arrivée à son sexe, à ses lèvres douces, lisses… Une fois de plus, elle ...

... se sent toute excitée, mais elle n’ose se caresser. Cela ne se fait pas à son âge… Au loin, le téléphone sonne, elle ne bouge pas… Trop bien ainsi. Le répondeur prendra le message… Le portable maintenant dans la chambre. Bon, il faut se remettre en route. Elle sort de son bain, se sèche, se parfume, se maquille… Toujours nue… Pas de messages sur le portable, mais c’était Jacques. Elle va jusqu’au salon consulter le répondeur. Oui, c’était bien lui. Il est déjà 18 heures et elle n’a pas vu le temps passer. Il lui annonce que son patron devrait être là pour 19 heures et lui, juste avant… Vite, il faut s’habiller… Elle retourne dans sa chambre, sort sa nouvelle robe de son paquet… Elle l’enfile… Se regarde dans la glace… « Non, je ne peux pas recevoir le patron de mon mari ainsi, déjà ce décolleté… » Elle ressort une culotte, l’enfile rapidement…« Pas grave, elle se voit un peu, mais bon… », se dit-elle. Puis elle enfile ses chaussures… Voilà, prête ou presque… Une dernière touche de maquillage, un coup de brosse rapide dans les cheveux. Elle entend la porte d’entrée s’ouvrir… — Bonsoir ! Tu es prête ? Je suis à la bourre, là. Il arrive d’ici cinq minutes. Jacques passe en coup de vent dans la chambre, petits bisous comme si elle n’était qu’un objet, une chose. Déçue, il n’a même rien vu, ne l’a pas complimentée de ses efforts vestimentaires. Anne repart au salon attendre, boudeuse… Tout est prêt pour la soirée. À peine le temps de s’asseoir, le carillon de l’entrée… Le patron ...