Apprentissage - Histoires de Sexe

Apprentissage

... cuisse. Imperceptiblement, il la force à ouvrir ses jambes encore plus. Ils continuent à discuter sans qu’elle y porte vraiment attention… Philippe prend sa culotte sur la table et la porte à son nez. — J’aime son parfum déjà. « Nu » de Saint-Laurent, n’est-ce pas ? mêlé à ses effluves féminines, un délice, Jacques… Elle paraît vraiment docile déjà et j’espère que vous l’avez préparée à notre pacte.— Oui. Vous savez, Monsieur, elle aimera vraiment cela… Sous ses airs très prudes, Anne cache un fort tempérament.— Oui, je l’espère, en effet. Et si j’en crois ce que vous m’avez déjà dit et ce que je vois là, je n’en doute guère et l’espère pour vous deux. De cela dépend tant de choses, vous le savez, Jacques.— Oui, Monsieur. Machinalement, elle passe les mains dans ses cheveux pour les replacer et Jacques lui saisit les poignets, lui soulève encore plus les bras et lui pose un baiser sur l’aisselle, à la limite de son sein dont les rondeurs s’aperçoivent par le côté de sa robe… Il lui murmure : — Fais-moi ce cadeau, c’est important pour nous deux, Anne. Elle ne comprend pas, tourne sa tête vers lui. Et là, elle sent sa main passer dans son décolleté, soupeser son sein… Ses doigts sur son téton dur… De honte, elle cache son visage contre son bras, n’ose plus bouger et malgré elle, écarte encore plus les jambes. Elle entend Philippe se lever, s’approcher d’eux. Il pose un genou à côté d’elle, sa main prend possession du genou d’Anne pendant que de l’autre main, il caresse son ...

... cou. Elle ne peut s’empêcher de frémir… Sa main descend et comme celle de Jacques, passe sous sa robe, soupèse et caresse son sein. La voilà entre son mari et cet homme, les seins caressés, honteuse, mais ne pouvant s’empêcher de pousser déjà de petits gémissements… Sentant une larme couler sur sa joue… Philippe remonte son autre main le long de sa jambe. Elle passe entre ses cuisses, les caresse jusqu’à la limite de son entrejambe, sans pour autant pousser plus loin ses investigations. La main de Philippe se détache de son sein, remonte, caresse son aisselle, son cou… Ella arrive au nœud de sa robe, le détache et laisse tomber ainsi les pans de tissus qui cachaient ses seins. Elle ferme toujours les yeux et sent la bouche de Philippe descendre dans son cou, sur son sein. Il aspire le téton… Sa main caresse maintenant son ventre, repasse entre ses cuisses, sans jamais toucher encore ses lèvres, son sexe. Philippe remonte sa jupe. La voilà maintenant presque nue… Indécente… Les seins tendus. Les tétons durs et pointant… D’elle-même, elle a relevé sa jambe, posé son pied sur le fauteuil… — Soulevez vos fesses, Anne, que j’ôte cette robe. Elle obéit, remet ses deux jambes par terre pour laisser passer sa robe. Philippe lui reprend ensuite le genou et la force à ouvrir ses jambes, un pied par terre, l’autre pied sur le fauteuil. Ses jambes ouvertes impudiquement. Il commence à caresser ses lèvres… Deux doigts finissent d’écarter ses grandes lèvres déjà béantes et trempées… — ...