Apprentissage - Histoires de Sexe

Apprentissage

... Véronique m’a presque obéi. Elle a déjà su vous convaincre d’avoir les lèvres lisses. Disant cela, il étire ses petites lèvres, dégage son clito déjà durci. Jacques, étonné, regarde sa femme se laisser caresser ainsi par un étranger, regarde son sexe aux lèvres lisses désormais. — Regardez, Jacques, je vous l’avais dit. Peu de choses séparent la femme de la femelle… Il te faudra être toute lisse à l’avenir, Anne.— Oui, Monsieur, répond-t-elle mécaniquement. Les deux doigts de Philippe passent sur son clitoris, ouvrent ses lèvres, descendent sur le périnée et finissent sur son anus trempé de cyprine. — Vous ne l’avez jamais encore sodomisée Jacques, m’avez-vous dit ?— Non, Monsieur, elle s’y est toujours refusée. Même quand j’essayais de la caresser juste de mes doigts, ainsi.— Mais cependant, je suis sûr qu’elle aimera cela, regardez déjà comment elle pousse son anus sur mes doigts. N’avez-vous pas aimé ce matin, quand Véronique vous a enculé avec ses doigts, Anne ? Disant cela, Philippe remonte ses doigts, passe dans son sexe, puis ressort ses doigts et lubrifie l’anus d’Anne. Il y enfonce un doigt sans ménagement. — J’attends votre réponse, Anne ! Son doigt la branle maintenant par derrière, l’ouvre petit à petit… Jacques observe, toujours incrédule, il relâche la pression autour des poignets d’Anne. — Oui Monsieur, j’ai aimé ses doigts. Elle s’ouvre de plus en plus, coule même à en tacher le fauteuil. Un deuxième doigt l’ouvre maintenant, élargit son tuyau culier presque ...

... vierge. — Vous voyez Jacques, comment elle se projette sur mes doigts… Ils sont trois maintenant dans son anus et Anne bouge ses reins en cadence, comme pour accélérer encore le rythme, s’ouvrir plus à cette caresse. — Levez-vous, Jacques, et laissez Anne se mettre à genoux sur le fauteuil… Sans tarder, Jacques se lève et force Anne à se mettre à genoux, tête sur le coussin du fauteuil, présentant ainsi son fessier à Philippe. Elle regarde son mari, les yeux remplis de honte, de bonheur en même temps. Philippe la caresse d’une main par-devant, ses autres doigts lui massant l’anus, l’ouvrant de plus en plus. Ses doigts gauches et droits se rejoignent dans le corps d’Anne, se touchent par la fine paroi séparant son con de son anus. Elle ne peut que tendre encore plus les reins… Elle gémit, n’en peut plus de ses caresses. Elle voit devant elle le pantalon de son mari, gonflé de désir aussi… Elle sent ses seins lourds, tendus, encore plus par sa position. — Je crois qu’il est temps, Anne.— Oui, Monsieur.— Temps pour toi de devenir…— Votre enculée, Monsieur. J’en ai envie, besoin, Monsieur. Enfin, elle avoue, son corps n’est plus qu’envie et elle sent derrière elle les doigts se retirer d’elle. Elle sent un sexe dur venir entre ses lèvres, les ouvrir. Elle a envie de lui, d’être prise, investie… — Oui, Monsieur… mais pas par-là… Elle tend ses reins. — Enculez-moi, Monsieur. Je veux être votre chose… Elle regarde Jacques… Et sent le vit se poser sur son anus et commencer son long ...