1. Ballade texane


    Datte: 29/06/2017, Catégories: f, fh, ffh, jeunes, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral 69, pénétratio, policier, aventure,

    ... à sa main droite, glissée sous ses fesses, de fourrager dans sa petite chatte : deux doigts disparaissant dans la grotte entrebâillée, les doigts de l’autre main s’activent sur le bouton d’amour. La tête rejetée en arrière, l’ex-pucelle dévergondée se branle gentiment ! Ses tétons pointent sous le tissu léger, les muscles de son cou sont tendus, sa bouche ouverte laisse échapper de petites plaintes. Le spectacle d’une femme se donnant du bien est, pour moi, parmi les tableaux les plus excitants qui soient. Dans la même situation, l’homme est ridicule, obscène, de mon point de vue en tous cas. Il faut bien reconnaître que les mouvements saccadés du paluchage forcené d’un célibataire esseulé n’ont en rien la grâce des caresses lascives d’une gourmande coquine… Et celle-ci est particulièrement gourmande ! Ses mains courent son corps comme des insectes avides, araignées lubriques qui s’insinuent dans le triangle profond des cuisses, creusent le ventre, se faufilent sous l’étoffe légère pour escalader les barricades dressées des seins érigés. Les hanches roulent, les fesses décollent du matelas, les reins se creusent. Appuyée sur ses seules épaules, le corps en petit pont, le sexe projeté vers l’avant, pris en tenailles entre ses mains, Louise, en gymnaste indécente, se cambre, roule et ondule, se contorsionne. Le tee-shirt est troussé, dévoile les monts blancs et leurs pics rougeauds. Cette débauche d’énergie désordonnée ne semble cependant pas suffire à la demoiselle qui lâche ...
    ... des plaintes désespérées, petits cris de dépit de ne pouvoir gravir les pentes glissantes d’un plaisir qui semble vouloir lui échapper. Me faisant signe de reculer, Lilly se redresse, s’avance dans l’encadrement de la porte et toussote légèrement. D’où je suis, dans les carreaux de la baie vitrée de sa chambre, j’aperçois la cousine découverte et confuse qui tente de masquer ses agissements. Brutalement retombée sur le drap, elle cache comme elle peut son intimité dévastée, rabat son tee-shirt sur ses seins. — Allons ma douce, pas d’affolement. Ne t’inquiète pas ! Tu devrais commencer à savoir que ce n’est pas le genre de trucs que je reprocherais ! Je serais plutôt du genre à te donner un coup de main ! Mais j’ai l’impression que tu es vraiment en manque et que tu n’arriveras à rien toute seule ! Et comme de l’autre côté, j’ai un Doudou qui a lui aussi des petits soucis, je me dis qu’on pourrait facilement solutionner vos deux problèmes, en vous réunissant. Qu’est-ce que tu en penses ?— Oh mais pourquoi pas… Lilly revient dans notre chambre et m’enlace. Quelques secondes s’écoulent, et Louise apparaît dans l’encadrement de la porte. La demoiselle porte toujours son tee-shirt sous lequel pointent ses petits seins mais peine à cacher son intimité. En contre-jour, ses cuisses très fines ne se touchent pas, et la lumière crue du matin découpe les reliefs tourmentés de son coquillage. La jeune fille déclare d’un air gourmant : — Vous savez, moi, si je peux rendre service… Portant ...
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