Ballade texane
Datte: 29/06/2017,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
policier,
aventure,
... sa main sur son sexe, elle ajoute : — Si le Doudou a quelque chose de bien à me proposer, je ne suis pas contre ! Mes dix doigts ne me suffisent plus… Hé bien, la demoiselle se libère ! Roulant des hanches et se caressant les seins à pleines mains, Louise nous rejoint, tourne autour de nous, parade, exposant tour à tour ses fesses et son petit buisson ; le tee-shirt s’envole et retombe sur la moquette. Nue, provocante, Louise plonge ses deux mains entre ses cuisses entrouvertes : — Il y a un sacré incendie ici, j’espère bien que Monsieur a une lance suffisamment puissante pour éteindre ce feu qui me dévore… Lilly entreprend d’ouvrir mon jean. — Il me semble, dit-elle, que le Monsieur a ce qu’il faut pour te contenter, mais nous allons vérifier tout de suite. Mon jean a tôt fait de glisser sur mes chevilles, rapidement suivi par mon slip. Ma bite jaillit comme un "Jack in the Box", se redresse vaillamment. — Ma foi, voila un bel engin, ajoute Lilly en tombant à genoux. Ce Jésus-là vaut bien une génuflexion ! Lilly darde sa langue mutine sur la hampe de mon sexe tendu, franchit le col roulé et vient titiller le gland avant que sa bouche n’engouffre l’engin. Louise, en riant, se plaque dans mon dos. À deux mains, elle remonte mon polo, m’obligeant à lever les bras pour m’en défaire. J’ai l’air malin pendant quelques secondes : entravé par mon jean, aveuglé par mon polo, je suis pieds et poings liés, à la merci de mes femelles impatientes. Je sens les seins de Louise écrasés ...
... contre ma peau et surtout, sa main qui s’insinue entre mes cuisses, sous mes fesses, et vient agripper mes couilles contractées. Une femme qui me suce allègrement, une autre qui me masse doucement les couilles, que demander d’autre ! Je revois un instant l’image de la soubrette latino entrevue dans le couloir et me dis qu’elle peut bien aller faire se mettre où elle veut… — Dis donc, Lilly, si tu le suces à ce rythme, il ne restera rien pour moi, s’inquiète la cousine impatiente.— Ok, répond Lilly en abandonnant ma queue. Attrape-le par les épaules. Les mains de Louise glissent sous mes aisselles alors que Lilly me prend par les chevilles. En soufflant et riant, les deux femmes me portent sur le lit où elles m’allongent et me débarrassent de mes entraves. Aussitôt, Louise grimpe sur le lit et se positionnant en 69, se jette sur ma bite qu’elle avale et pompe goulûment. Avant de lui rendre la pareille, je contemple un instant le paysage offert. J’aime les femmes dans cette position, la meilleure qui soit pour détailler les détails de leurs sexes si secrets. Celui de Louise est un morceau de roi : des lèvres bien charnues, ourlées, étonnamment appétissantes compte tenu de la maigreur relative de la jeune fille. On s’attendrait à trouver un petit abricot rabougri, resserré, et c’est un fruit plein qui est offert. Entre ces lèvres charnues, parfaitement épilées, une petite fleur sombre émerge, déploie sa corolle délicatement ciselée et irisée par une chaude humidité. Que ma langue ...