1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (9)


    Datte: 21/02/2021, Catégories: Lesbienne

    7 AOÛT Il est 9 heures. Je marche en direction de la maison. Eleni m’a prêté quelques vêtements. Le T-Shirt le plus large qu’elle possède et une jupe ample ! Ma robe est ruinée. Hier, à peine allongée, j’avais fini par vomir mon trop plein d’alcool ! Heureusement, Eleni m’a raconté qu’elle avait réussi à me faire arriver jusqu’à sa salle de bain et je n’ai pas fait trop de dégâts ! Et j’ai fini nue au lit… On dit qu’une fin de concours, et à fortiori de thèse, ça mérite toujours une bonne cuite pour se vider la tête… Celle-ci aura eu des conséquences inattendues… Aurais-je cru que je coucherais à nouveau avec une femme, surtout si jeune, si belle ? Elle, l’amoureuse de mon jeune amant ! J’ai adoré la baiser ! J’ai adoré la déflorer, lui faire découvrir son premier orgasme partagé… Quel corps de rêve, si parfait et si réactif, si sensible. Elle est faite pour l’amour ! Mon Adonis va bien s’amuser et prendre un sacré pied, ce petit con ! A moins qu’elle ne devienne complètement lesbienne… Peut-être qu’après cette première expérience et cet orgasme puissant elle va se dire que c’est ce qu’il lui faut ! D’ailleurs, son plaisir à me regarder nue, à nous regarder, depuis des semaines, son absence de jalousie à mon égard… c’était peut-être assez ambigu finalement. Peut-être qu’au fond, c’est de moi qu’elle tombait amoureuse ? J’arrive à la maison. Je suis crevée. J’ai mal à la tête. Je cherche un comprimé de paracétamol dans mon vanity et je me jette sur le lit. Midi. Il fait encore ...
    ... très chaud. Je me prépare une salade de légumes. Pas de nouvelles d’Adonis. Il s’est peut-être demandé pourquoi je n’étais pas venue à la crique ce matin. Tant pis pour lui, il n’avait qu’à m’accompagner au port, on n’en serait pas là ! Mais ça aurait été bien dommage, je dois le reconnaître… Je ne cesse de repenser à la petite Eleni. C’était si puissant et si doux… Elle était si belle dans sa première jouissance… Inconsciemment, en pensant à elle, je commence à me caresser doucement le ventre, les seins… Mon dieu, j’ai encore envie d’elle ! Je ne suis pas rassasiée de son jeune corps de déesse, et elle n’a pas encore exploré tout le mien… Il y a encore tant de plaisir à échanger… Mais Adonis ? Ma main s’enfonce dans ma chatte… Je vibre. Viens… Viens… Prends-moi… Prends-mon con, mon cul… Pénètre-moi, lèche-moi… Je te sens entre mes cuisses… Mes seins… mon ventre… mon cul… Tu me caresses, me saisis, me dévore… Eleni… Eleni… Eleni ! Oui ! Allongée sur la terrasse, je te crie ma jouissance… Je marche. Je descends vers le port. Il est bientôt 17 heures. Je veux la revoir. Il faut que je la revoie… J’arrive sur le port. J’aperçois le restaurant. Est-elle là aujourd’hui ? Et si elle est là… que dira-t-elle ? Je m’approche lentement de la terrasse du restaurant. J’ai la gorge nouée. Je guette, je ne la vois pas… Mais si, ça y est… Elle est là-bas, à l’intérieur, elle prend une commande… Elle est encore plus belle… Robe cache-cœur à fines bretelles et à volants, échancrée, plongeant ...
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