Après de l'après
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fhhh,
grossexe,
taille,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
sm,
fsoumisah,
... vous dites ?— Moi, je suis tombé amoureux de vous. Rien que ça ! Je reprends une autre cuillerée de glace. J’attends que la glace fonde dans ma bouche, puis je reprends : — De… de moi ?— Oui, de vous. Max m’a fait votre éloge, plus d’une fois d’ailleurs, mais quand je vous ai vue ce week-end, ça a été le coup de foudre ! Il est vrai que Max et moi avons les mêmes goûts en ce qui concerne les femmes ; la grosse différence est que lui, il plaît beaucoup plus aux femmes que moi.— Les mêmes goûts ?— Je ne vais pas vous en faire le détail. Mais nous sommes convenus, lui et moi, d’éviter de nous piquer mutuellement nos conquêtes. Sauf éventuellement de nous les prêter réciproquement…— Ungentlemen’s agreement, en quelque sorte… Tel un gros ours malheureux, il soupire avec force : — Oui, comme vous dites ; mais là, c’est différent !— Comment ça, différent ?— Oui, vous êtes une femme trop bien, je suis très amoureux de vous, et malgré mon accord avec Max je ne veux pas passer à côté de vous. Je pose ma cuillère sur la table : — Mais Jean-Paër, je suis déjà avec Max ! Et aussi avec mon mari !— Jamais deux sans trois !— Vous y allez fort…— Qui ne risque rien n’a rien.— Mais quand même ! Il pose ses coudes sur la table. — Plusieurs fois dans ma vie, je n’ai pas osé tenter ma chance et je m’en suis mordu les doigts ensuite. Max, lui, a osé. La preuve est face à moi : vous.— Il vous a vraiment tout dit ?— Oui, le restau, les toilettes, le bois etc.— Ah…— Je ne vais pas tourner autour du ...
... pot : vous me plaisez terriblement ; peu importe que vous soyez déjà prise, je me contenterai de ce que vous me donnerez, bien que… bien que je tenterai d’en avoir toujours un peu plus, car dans l’absolu je vous voudrais rien qu’à moi. Je le regarde, bouche ouverte, les yeux écarquillés. Je finis par dire : — Ne le prenez pas mal, mais je croirais entendre Max parler.— Je sais… Au moins, vous ne m’avez pas dit non…— Je ne vous ai pas dit oui non plus. Il s’approche de moi. — Je me contre-fiche que vous soyez libertine, soumise ou autre. Moi, tout ce que je vois face à moi, c’est une femme que je trouve magnifique et terriblement attirante, et que j’ai très fortement envie d’avoir à moi, de protéger, de lui faire la vie douce. Je sais que je ne suis pas un Apollon, que je peux même faire peur. Mais je sais aussi que je peux vous rendre heureuse. Je déglutis ; son petit discours sincère me rend toute chose. — Merci, Jean-Paër. Je… je ne sais pas quoi dire…— Alors dites oui.— Vous exagérez ! Ne sachant que faire, je finis ma glace. Il attend un peu, puis il finit par prendre la parole : — Je sais, j’y vais un peu fort, mais il s’agit de saisir sa chance quand elle passe. Et vous êtes là, si proche de moi…— Je ne peux pas vous donner tort. Mais c’est rapide !— Avec Max, ce fut très rapide, il me semble… Sans vous offenser, je pense qu’avec vous, il faut y aller franco, savoir vous brusquer car, au final, vous adorez être une mignonne petite chose ballottée par les événements.— Vous ...