Après de l'après
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fhhh,
grossexe,
taille,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
sm,
fsoumisah,
Divers protagonistes : Les divers épisodes de cette série peuvent être consultés indépendamment.Dernier épisode. _________________________ Assise nue sur les genoux de Max, je prends en note ce qu’il me dicte tandis qu’il me caresse les genoux ou qu’il embrasse mon cou ou un sein. Tout ça fait très cliché, ce fantasme patron/secrétaire, mais j’aime ce genre de cliché ! Surtout avec Max comme patron, même tyrannique ! — Point, à la ligne. En conséquence, conformément aux précédentes dispositions, il va de soi que nos accords passés sont caduques.— Maxounet, pas trop vite !— Tu es perdue où ?— À « dispositions ». En parlant de ça, toi, tu es bien disposé : mes fesses en savent quelque chose !— Tu sais très bien, ma chérie, que tu me fais toujours bander, quoi qu’il arrive. Toujours assise sur ses genoux, je le toise, une moue méprisante aux lèvres : — Pff… Ce n’est même plus rigolo ! Avec toi, même si j’ôtais un simple gant de ma main, tu banderais comme un taureau en manque.— Un taureau en manque ?— Oui, Max : un taureau en rut et en manque.— Ah oui ? En rut et en manque ? Je vais te le prouver tout de suite !— Et… et ta lettre !?— Elle attendra. En rut et en manque, hein ? En un rien de temps, Max me couche sur son bureau et commence à m’entreprendre d’une façon que je qualifierais de possessive. Je me retrouve bien vite le chemisier largement ouvert et la jupe retroussée. Mon porte-jarretelles et mon absence de culotte semblent décupler la vigueur de mon Maître-amant qui ...
... me pistonne sans retenue, bien décidé à me prouver qu’il est un étalon, et moi sa pouliche. Bien qu’il ait tout quand même du taureau en rut et en manque ! Cette quasi-bestialité me rend toute chose, et c’est avec un plaisir évident que je me laisse faire. Max me dévore ci et là les lèvres et mordille de temps à autre mes tétons bien érigés, avant de continuer son pistonnage de plus belle, histoire de bien me faire sentir que c’est lui qui possède le manche. — Je vais t’en flanquer, moi, du taureau en rut !— Oh oui, vas-y ! Flanque-m’en tout plein… Vide tes grosses couilles en moi ! Ah zut ! J’aurai dû attendre un peu avant de lui dire ce genre de cochonnerie, car dans un dernier coup de reins je l’entends pousser un long râle tandis qu’il se déverse en moi. La tête levée au plafond, il me surplombe, tressaillant en moi, sa bite agitée de spasmes. J’aurais aimé qu’on jouisse à deux ; mais bon, on dirait que ce ne sera pas trop le cas maintenant. En grognant, il se retire sans prévenir puis, me plaquant de sa main sur le bureau, il le contourne pour mettre son engin dégoulinant à portée de mes lèvres. Je proteste faiblement : — Tu pourrais au moins attendre que je m’essuie, ça coule…— Eh bien, ça coulera et tu lécheras le bureau. En attendant, suce !— Oui, Maître. Un peu d’autorité de la sorte me plaît bien ; je ne suis pas une soumise pour rien. Alors, ouvrant la bouche, je m’exécute. Je goûte à présent ce mélange curieux entre son sperme et ma cyprine, un mélange que je ne ...