Après de l'après
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fhhh,
grossexe,
taille,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
sm,
fsoumisah,
... déteste pas, malgré son goût singulier… Sa bite déjà molle commence un soupçon de redressement sous ma langue câline, mais je ne me fais pas trop d’illusions quant à une possible pénétration dans les deux-trois minutes qui viennent. Après que j’ai bien nettoyé et cajolé sa queue, Max me la retire de la bouche. Du doigt, il me désigne mon entrejambe souillé et ordonne : — Lèche le bureau !— Oui, Maître. Plaquant ma main sur mes lèvres intimes détrempées afin d’éviter d’en mettre partout, je me penche sur le bureau afin d’obéir à mon Maître. C’est moins agréable que de sucer une bite chaude, c’est certain ! Mais c’est assez excitant quand même. Comme j’ai les fesses à l’air et bien présentées, Max en profite pour alterner caresses et fessées. C’est agréable. Soudain il exige : — Enlève ta main de ta chatte ! Tant pis pour la moquette !— Oui, Maître…— Maintenant, ma belle cochonne, lèche tes doigts pleins de sperme. Et je vais me réoccuper de toi…— Oh oui, Maître ! C’est avec une agréable surprise que je constate qu’il replonge en moi, et en pleine forme ! Avec délectation, je suce mes doigts gluants tandis que mon autre main s’active sur mon petit bouton rose et très sensible. Je sens monter en moi une chaleur que j’adore, celle d’une proche jouissance. Alors je me laisse aller, je m’offre totalement à la bite qui m’explore, à mes doigts qui me titillent agréablement, qui me caressent voluptueusement, qui m’excitent follement. C’est avec ravissement que je finis par jouir, la ...
... bouche souillée, le clitoris en feu, la chatte envahie par mon Maître plongé en moi. Le travail au bureau, c’est génial quand c’est ainsi ! Ça va faire presque deux mois que je suis en « garde alternée » entre Max, mon amant, et Paul, mon mari. Tandis que je dormais, épuisée par tous ces événements et ma prestation juste avant, les deux hommes ont ferraillé au téléphone. Partie dans le pays des songes, je n’ai rien entendu de tout ça, mais j’ai cru comprendre que ça n’avait pas été triste ! Sans me consulter avant, sans rien me demander, ils sont tombés finalement d’accord sur deux choses : une garde alternée, c’est-à-dire une semaine chez l’un et une semaine chez l’autre ; et ils ont royalement oublié aussi de me demander au passage mon avis ! J’ai beau être une soumise, c’était la moindre des choses : c’est quand même moi la première concernée, non ? C’est à mon réveil que j’ai découvert, stupéfaite, les deux hommes face à moi. Abasourdie, je les ai entendus m’expliquer la solution qu’ils avaient trouvée pour moi. Il m’a fallu un certain temps avant de réaliser pleinement ce qu’on souhaitait de moi. Plus tard, quelques jours plus tard, quand ce fut le « tour de garde » de Paul, osant franchir le pas, je m’en suis étonnée auprès de mon mari : — Paul… je ne comprends pas… tu… tu as accepté de me… comment dire, de me « couper » en deux comme ça ? Avoue que c’est vexant quand même ! Je ne suis pas votre enfant, ni votre jouet ! Enfin… je me comprends.— Tu l’avais très bien dit ...