Après de l'après
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fhhh,
grossexe,
taille,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
sm,
fsoumisah,
... bouche, une pomme tiède et souple. — Quand tu seras arrivé tout au fond, vas-y de bon cœur ; je veux te recevoir complètement, me sentir envahie !— Tu es certaine ? Parce que tu sais que…— Oui, je suis certaine ! J’attends avec fébrilité qu’il arrive tout au fond. Ses testicules s’aplatissent sur mes cuisses, son énorme tige m’écartèle, c’est complètement fou… Et que dire quand il m’encule ! C’est encore plus démentiel, mais très éprouvant ; mais tellement bon sur le coup ! — Oh oui ! Tu y es… Oh oui !— J’y vais ?— Non, reste encore un peu comme ça, que je profite bien de ta queue. Essaie d’aller plus loin.— Je suis déjà au bout, tu sais…— Alors va encore plus loin. Force ! Je veux te sentir encore et encore, je veux que tu m’envahisses ! Je suis prise d’un vaste tremblement quand il s’exécute. C’est complètement dingue d’être forcée de la sorte, mais c’est… mais c’est… indescriptible ! Je vois des étoiles partout ! Je suis irrémédiablement une salope masochiste de réclamer de tels trucs déments ! Le souffle coupé, j’ai la force de lui crier : — Défonce-moi ! Oui, défonce-moi ! Et c’est un déluge de sensations fortes qui s’abat sur moi, qui me tourmente, qui me transporte, qui me bouscule dans tout mon corps, ma chatte ravagée, ma grotte dévastée, en feu, mais c’est si bon, si fou, si par-delà ! — Ah ouiii ! Vas-y ! Prends-moi comme une chienne… Oui ! Peut-être que j’en mourrai, mais je m’en fiche complètement. Je m’en fous royalement ; tout ce que je veux, c’est lui, sa ...
... bite, son foutre, être une salope, une traînée, une pute, peu importe, du moment que je jouisse comme une folle, à en perdre la raison ! — Oh ouiiiii ! Encore ! Plus fort ! Et là, je décolle, l’utérus en feu, les sens en folie. La chambre n’existe plus, je suis ailleurs, sans dehors ni dedans, sans haut ni bas, dans un endroit irrationnel. Dans un grand cri, il jaillit en moi, tel un volcan brûlant ; égarée, je sens comme un flot m’envahir, déborder, fuser dans tous les sens. Je perds pied, ma bouche pleine de mille cris ! Une vague puissante m’entraîne, me fracasse ; je meurs… Je suis morte… … … … Hum… Si c’est ça, la mort, je veux bien mourir plus souvent ! J’ouvre un œil ; je suis couchée sur Jean-Paër qui m’enserre dans ses bras. Je suis bien. Je ne sens plus mon bas-ventre, ou plutôt je le sens comme étranger à mon propre corps. Je n’ose pas trop songer à l’état dans lequel ma chatte doit être ! Mon pubis et l’intérieur de mes cuisses sont luisants et poisseux… Il ne faut pas demander pourquoi ! Pour être comblée, j’ai été bien comblée ! Totalement ! Intégralement ! J’aime être la chose de Jean-Paër, sa petite chose. Il sait si bien s’occuper de moi… Mon homme si grand, si immense ! Mon homme ? Ah oui, lequel ? J’ai Paul, j’ai Max et j’ai en prime Jean-Paër qui en vaut presque deux, vu la stature ! Un, deux, trois hommes… pourquoi pas ? Un premier, plus âgé, un homme mature, cultivé, presque un papa avec qui on est si bien ; un deuxième plus de mon âge, un ami-amant en ...