1. Après de l'après


    Datte: 22/02/2021, Catégories: fhhh, grossexe, taille, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, sm, fsoumisah,

    ... d’ailleurs quelque chose, lui qui a toujours envie de te faire découvrir sa collection d’estampes japonaises !— Enchantée…— Moi de même. Max a le génie de nous dénicher de belles femmes ! Et il n’est pas fair-play de se les garder pour lui tout seul : ne sommes-nous pas une petite communauté qui partageons tout ? Max lui lance un regard noir puis se tourne vers le plus grand, un géant faisant au moins deux mètres, massif, qui se déplie, semblant être à deux doigts de heurter le plafond. — Et notre râleur exilé à Bordeaux, Jean-Paër, pé-a-eu-èr, un prénom peu courant ; notre bidouilleur en chef, capable de transformer une simple télécommande de garage en télévision !— En-enchantée (cet homme est impressionnant !)— Enchanté ! Tout le monde s’assied, sauf moi qui reste debout, à la vue de tous. Balayant l’assemblée d’un large geste de la main, Max explique : — Le gang des quatre, pourrait-on dire, sauf que le gang le plus connu a mal tourné, en Chine… Aujourd’hui, Valérie, tu es le pouce et nous sommes les quatre doigts de la main. Michel se frotte les mains : — Et compte sur nous, Max, pour bien la prendre en main !— Je ne me fais aucun souci là-dessus ; mais modère-toi un tantinet ! répond Max, un peu agacé. Amusé, Laurent entre dans la conversation : — Michel, se modérer ? Tu as de l’espoir ! Surtout avec un si joli présent face à lui ! Imagine de demander de se calmer à un gourmand compulsif lâché dans une pâtisserie en pleine nuit, le ventre creux !— Pourtant, il le ...
    ... faudra. Une voix très grave retentit : — Et s’il n’y arrive pas, on l’aidera, n’est-ce pas ? Jean-Paër fait jouer ses jointures dans des craquements sinistres… Max et Laurent se mettent à rire, Michel beaucoup moins. Moi, je me contente de sourire, ne connaissant pas bien mes interlocuteurs (sauf Max, bien sûr), les devinant surtout. Ça doit être une sacrée équipe ! — Comme j’ai déjà expliqué à Valérie, avant, il y a quelques années, nous nous réunissions pour profiter des bonnes choses de la vie. Je me suis dit qu’il serait bon d’évoquer le bon temps…— Bonne idée ! Ah, nos jeunes années à batifoler…— Que de l’évoquer ? Vu la tenue de madame, l’évocation va me sembler pénible ! C’est vrai qu’une femme presque nue vêtue uniquement d’un serre-taille, de chaussures au hauts talons-aiguilles et de bas autofixants, le tout en noir, avec une peau particulièrement blanche, c’est un contraste assez… captivant pour les yeux masculins. Ajoutez-y mes seins, mes fesses et ma chatte sans aucune protection à la convoitise, je comprends que certains hommes aient quelques problèmes avec leur self-control ! Le Michel surtout ! Michel, n’en parlons pas ; s’il le pouvait, il m’aurait sans doute déjà violée depuis longtemps. Laurent, je ne le cerne pas très bien, mais je pense qu’il est plutôt contemplatif. Quant à Jean-Paër, il sait se tenir, mais il démarrerait sans problème au quart de tour : c’est l’impression qu’il me donne. J’aime son regard, mélange curieux d’admiration sincère et de convoitise ...
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