Après de l'après
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fhhh,
grossexe,
taille,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
sm,
fsoumisah,
... complètement en moi, je sens qu’elle tressaille : j’ai enfin réussi mon pari avec moi-même ! L’instant d’après, un premier jet m’envahit ; je dois faire un certain effort pour bloquer le réflexe de régurgitation. Le second jet remplit ma bouche qui déborde, s’échappant au dehors, glissant sur mon menton. Je me recule précipitamment ; un dernier jet s’aplatit sur ma joue. La gorge brûlante, je n’arrive plus à avaler quoi que ce soit. Je me résous à laisser le trop-plein s’évacuer hors de mes lèvres puis s’écraser sur mes seins. Je ne dois pas être un beau spectacle, ainsi ! — Très bien, Valérie ! Très bien !— M-merci… M-maître !— Tu as en effet une très docile soumise, Max. Félicitations ! En entendant la suite de leurs conversations, je suis plutôt contente de moi. Bien sûr que je suis une bonne soumise docile pour son Maître ! N’est-ce pas ma fierté ? Quelques jours après cette mémorable séance des cinq doigts de la main, je viens juste de sortir de chez ma coiffeuse attitrée ; je viens de me faire faire une petite coloration plus estivale et couper les pointes. J’ai eu la curieuse impression qu’on me surveillait tandis que j’étais assise dans le confortable fauteuil. Étrange ! Bah, peut-être un voyeur qui a fait une petite fixation sur ma personne… Il faut dire qu’avec ma robe légère, je dois être assez tentante ! Je souris, un peu flattée d’être toujours l’attention des hommes, même si c’est souvent lubrique… Je flâne dans la galerie marchande, je vois même en vitrine une ...
... petite tenue qui me tente dans un magasin, alors j’entre pour l’essayer. L’objet convoité en main, je file vers la zone des cabines pour voir si ça me convient. Quelques secondes plus tard, je regarde l’effet que fait sur moi cette tenue dans le miroir. — Ça vous va à ravir ! Surprise, je sursaute et je me retourne vers la voix très grave qui vient de retentir. — Jean-Pierre, euh… non, Jean-Paër ?— Bonjour, Valérie…— Vous faites quoi ici ? C’est un magasin pour femmes, à moins que vous n’ayez une petite amie à présent ?— Ah, j’aimerais bien… Là-bas, à l’entrée de la zone des cabines, une vendeuse inquiète m’interroge du regard. Je lui fais un large sourire, lui signifiant que tout va bien. Visiblement, elle semble soulagée ; il est vrai que Jean-Paër fait quand même un peu peur, voire beaucoup, du haut de ses deux mètres deux, si j’ai bon souvenir, et de sa carrure d’armoire à glace ! Les méchantes langues diront que c’est un gorille avec moins de poils… — Alors, que faites-vous là ?— Je vous ai vue, alors je suis venu vous dire bonjour.— Ah, c’est très gentil. Visiblement, cette simple phrase lui fait plaisir. C’est alors que, mue par une intuition, je demande : — Par le plus grand des hasards, vous ne m’auriez pas déjà vue chez ma coiffeuse ?— Si… Ah OK, je comprends mieux la sensation que j’ai ressentie. Je me demande ce qu’il faut en penser. C’est Jean-Paër qui prend les devants, ce qui m’arrange finalement : — Que diriez-vous d’aller boire quelque chose ou de manger une ...