1. Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)


    Datte: 22/02/2021, Catégories: fh, ffh, Oral fsodo, policier,

    ... l’explosion finale. Warda prit l’un des pieds de la belle hispanique et se fourra les orteils dans la bouche, les suçant avidement. Ce qui déclencha l’orgasme de la jeune femme. Elle était belle. Elle hurla, se tortillant dans tout les sens, et bing ! L’explosion… — Enfile-moi maintenant. Fourre ta bite dans mes fesses. Encule-moi, G. Encule-moi, me supplia Warda. Je sortis ma queue de Rita, qui était complètement hors d’usage, haletante et recouverte d’une fine pellicule de sueur. Je fis volte-face et empoignai Warda par les hanches, suçant ses seins au passage. — Oui… Je la jetai sur le lit et elle se positionna à quatre pattes. Je montai sur le matelas, la queue palpitant dans ma main. Elle ouvrit ses fesses de ses deux mains, et la tête plongée entre les cuisses grandes ouvertes de Rita. Je n’allais quand même pas l’enculer à sec, comme ça. Je me baissai et lapai brièvement son ourlet froncé, la faisant gémir. — T’aime ça ? entendis-je lui demander Rita, la voix tremblante sous la langue de ma belle beurette.— Hmm, oui ! Je me relevai, les yeux rivés sur ce cul magnifique, puis déposai mon gland contre son anus, doucement, et la pénétrai centimètre par centimètre, attentif à ses gémissements. Elle fourrait sa bouche entre les cuisses de Rita, y glissant parfois un doigt ou deux, l’aidant à se mettre en route pour un second orgasme. Nos gémissements remplissaient la chambre. Ma queue, enserrée dans ce cieux fourreau étroit, semblait grossir d’avantage. J’étais compressé ...
    ... comme pas possible, c’était divin. Rita ne me lâchait pas du regard, gémissante, en nage, se cambrant pour mieux venir à la rencontre des lèvres de Warda, qui gémissait en sourdine, criait parfois, lorsque j’accélérais mes coups de reins, l’empoignant toujours solidement par les hanches. — Hmm, oui, c’est bon, prends-moi, G, prends-moi… Ce que je fis de plus en plus vite, mes muscles en feu, sentant la sueur perler de mon front et dans mon dos, mes couilles venant presque buter contre ses fesses rebondies. Je me concentrai pour ne pas me laisser déborder par le plaisir et craquer. Mais ça devenait dur. Mêlée à l’extase, la tension qui m’habitait se relâchait rapidement, toutes les épreuves subies depuis cette nuit allait exploser avec mon sperme. Et enfin, ce fut la délivrance, lorsque ma beurette cinglée s’arqua tout d’un coup, en criant, relevant la tête de l’entrejambe de Rita. Heureusement, parce que je ne tenais plus. Je sortis de ses fesses, en douceur, m’emparai de ma bite, et, de quelques coups de poignets, envoyai ma semence sur le cul magnifique de Warda, et sur le ventre de Rita, dans un grognement libérateur. J’étais à bout de souffle, mais heureux. Simplement heureux. Je m’écroulai auprès des filles, qui vinrent se nicher de part et d’autre de mon torse, la main délicate de Rita me caressant lentement de bas en haut, pour extraire de moi les dernières gouttes de sperme. Ce furent des coups à la porte qui me réveillèrent. Warda, nichée dans mes bras, ronflait avec ...