Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
Oral
fsodo,
policier,
... Mais puisqu’elle avait décidé d’aller jusqu’au bout, et que visiblement rien ne pouvait la faire changer d’avis, je ne répondis pas et continuai ma route. Je garai ma voiture en bas de l’immeuble en soupirant. Parce que je venais de me rendre compte où j’avais atterri. J’étais sorti de mon quartier, et je reconnaissais les lieux. L’immeuble de Rita. Tout se mettait en place. — D’accord, murmurai-je. Je vois le plan.— Quoi ? me demanda Warda.— J’ai pigé, dis-je. Ce mec, je me suis fait sa copine, et il a dû le découvrir. Elle ne répondit rien et resta pensive. — Et il fallait que ce soit un flic, fis-je. Mais bon, ça ne change rien. Il allait morfler, flicaille ou pas. Je débouclai ma ceinture et ma passagère fit de même. Inutile de lui demander une nouvelle fois si elle était certaine de vouloir m’accompagner, cela se lisait dans ses yeux. J’ouvris la portière et mis le nez dehors. L’air frais matinal caressa ma peau. — On va attendre cette enflure chez lui, fis-je. Warda était également sortie et claqua la portière. Faudra pas que j’oublie de ramener la voiture là où je l’ai trouvée. — Et une fois qu’il sera là, tu lui feras quoi ?— J’lui montrerai qu’on ne baise pas Nathaniel Jaycelon Smith, murmurai-je d’un ton sombre. Mais il fallait d’abord que je m’innocente. Parce qu’à moins d’avoir loupé un épisode, j’étais présumé coupable d’un meurtre. Je fermai la portière, vérifiai que j’avais bien mon revolver (vide) sur moi. On ne sait jamais ce qu’il va se passer et un ...
... flingue, même vide, ça intimide et ça peut sortir du pétrin. — T’es prête ?— Comme les scouts, me répondit-elle en se recoiffant. Toujours. Cette fille était tarée. Mais étrangement, j’étais content de l’avoir à mes côtés. Le hall de l’immeuble de Rita et de son charmant petit enfoiré de copain de flic était plutôt agréable, avec une plante verte en pot dans un coin, des boites aux lettres presque en bon état et un grand miroir. Je me vis une seconde dans le reflet, un grand black balèze, revolver a la ceinture, avec dans le regard le feu de la vengeance. Accompagné d’une beurette en jean et pull, bottes aux pieds, complètement shootée à l’adrénaline et au sexe. Un couple du tonnerre. J’appuyai sur le bouton de l’ascenseur et les portes de celui-ci s’ouvrirent immédiatement. On s’y engouffra. — Troisième, indiquai-je à Warda. Elle pressa le bouton et me scruta. — Donc, tu t’es fait sa copine. Quand ?— Hier, enfin avant-hier soir, je crois, fis-je. J’avais l’impression que ça remontait d’un siècle, tout ça. Il s’était passé beaucoup de choses. — Tu collectionnes les meufs, donc. Mais elle n’avait pas l’air jalouse, plutôt excitée à nouveau. Je haussai les épaules sans répondre précisément. Je songeai à Rita, à sa gueule d’ange, à ses longues jambes, son piercing au nombril et à ses fesses rondes et bombées. Pourquoi m’avait-elle balancé ? — Pourquoi j’irais balancer un mec capable de me faire jouir toute la nuit ? m’avait-elle demandé avec un sourire espiègle, et ça avait suffi pour ...