1. Une belle histoire


    Datte: 23/02/2021, Catégories: fh, piscine, douche, volupté, Oral préservati, pénétratio,

    ... voulez.— OK, vers 11H00, alors. Encore merci, et à demain.— Au revoir, à demain donc. Sitôt dit, elle raccrocha, me laissant bouche bée. Je ne savais si j’avais rêvé. J’étais sous le charme de cette voix douce, posée et agréable. Mon intérieur bouillait d’impatience. Le lendemain, comme prévu, à 11H00 pile, je sonnais au grand portail de ce petit parc. À l’interphone, j’entendis simplement : « Oui, je vous ouvre ». C’était la même phrase que quand je venais chercher sa fille pour ses leçons de conduite. Mais aujourd’hui, ce serait différent. Ce n’était pas la fille que je venais chercher, mais sa ravissante mère qui m’invitait à déjeuner. Le portail largement ouvert, je montais en voiture jusqu’à la maison construite dans un joli bosquet, en pleine campagne. Je dois avouer que c’est un peu tremblant que je fis les quelques pas qui me séparaient de la porte d’entrée. Elle m’ouvrit rapidement et m’accueillit d’un large sourire, en me tendant la main que je m’empressais de serrer délicatement, comme d’habitude. — Entrez, suivez-moi, je vous prie. Je la suivis pas à pas, découvrant l’intérieur de cette maison que je ne connaissais que de l’extérieur. Elle était richement meublée et agréablement décorée d’ancien et de moderne. Décidément, cette femme avait du goût. Je n’osai dire un mot, jusqu’à ce qu’elle me lance toujours avec douceur et sang-froid : — On va se mettre sur la terrasse pour prendre un apéritif. Ce serait dommage de ne pas profiter des derniers rayons du soleil. ...
    ... Nous étions début septembre et il régnait, c’est vrai, un temps encore très estival. L’arrière de la maison valait largement le devant. Une belle terrasse donnait sur un jardin magnifique et surtout se prolongeait vers les premières margelles de la piscine. Vraiment, cette maison était un petit paradis. J’y allai de mon petit commentaire banal, complimentant les lieux, félicitant l’agencement, la décoration, les styles qui se mélangeaient à merveille. Malgré tout, mes yeux ne s’attardèrent sur le décor qu’avec superficialité, revenant rapidement sur la maîtresse de maison qui était de plus en plus belle, de plus en plus attirante. Timidement, j’avais répondu à son invitation de m’asseoir sur une des chaises de jardin cernant la grande table en teck trônant au milieu de cette terrasse ombragée. Françoise, elle, allait et venait, du salon à la terrasse pour dresser l’apéritif. Ce serait ti-punch, avait-elle décidé avec mon accord. Assise non loin de moi, elle s’affairait à préparer deux verres de ce breuvage des îles. Elle le préparait avec application. Je la regardais timidement, la déshabillant du regard, cherchant à deviner le corps qui se cachait sous cette longue robe d’été. Une de ces robes légères et amples fermées par des boutons, dont les derniers étaient toutefois défaits pour laisser apparaître de temps à autres les jambes de sa propriétaire. Nous bavardions de tout et de rien, des arbres, des fleurs de son jardin, de son travail, du mien, du soleil, mais rien ne se ...
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