1. Une belle histoire


    Datte: 23/02/2021, Catégories: fh, piscine, douche, volupté, Oral préservati, pénétratio,

    ... rapportant à cette invitation. Je tentai toutefois de briser ce non-dit qui devenait pesant : — C’est vraiment très gentil d’avoir accepté, ou plutôt d’avoir retourné l’invitation. J’en suis encore à me demander ce qui vous a poussé à dire oui. Vous avez certainement dû trouver mon petit mot quelque peu osé ? Me tendant un verre, toujours souriante, elle me répondit : — Pourquoi donc aurais-je refusé ? Je ne vois pas ce qu’il y a de mal à déjeuner avec vous. Et soyez persuadé que ce plaisir est partagé. Je suis certaine que nous avons plein de choses en commun à échanger. Pour elle, tout était clair. J’étais un invité comme un autre. Il n’y avait aucun malentendu dans ses propos. S’ensuivirent diverses discussions tournant autour de la famille, des voyages, des enfants, durant lequel le vouvoiement restait de rigueur. Les verres de tea-punch s’accumulaient et nous permettaient d’être plus à l’aise dans nos discussions. J’étais bien, sur cette terrasse, au bord de la piscine, en charmante compagnie de cette femme très cultivée et très simple. Une amitié naissait petit à petit. — Si vous désirez vous baigner un peu, pendant que je termine la préparation du repas, ne vous privez pas, je vous en prie. Toujours très simplement, elle m’avait lancé cette invitation. Elle possédait un naturel qui devenait presque intimidant. — Ce serait avec plaisir, mais je crains ne pas avoir le maillot nécessaire à cet effet.— Oui, c’est vrai. Venez, je vais bien trouver un maillot de bain de ...
    ... mon mari et une serviette. Je la suivis à nouveau vers une chambre, que je devinais être la sienne, disons la leur. D’une armoire, elle me tendit trois maillots et me laissa seul pour faire mon choix. Le premier allait très bien. Je ne savais que faire de mon pantalon, de ma chemisette, mon caleçon et mes chaussures. Je les laissai donc dans un coin de cette chambre et ressortis sur la terrasse pour aller rapidement m’immerger dans le bleu de cette piscine. L’eau y était limpide et fraîche. Après quelques brasses, ne voulant abuser de la situation, je ressortis de l’eau et revins m’asseoir autour de la table. Je l’entendais aller et venir dans la cuisine, s’affairant à la préparation du repas que bientôt elle allait servir. Quand elle revint enfin s’asseoir, je me sentis obliger de la remercier pour ce petit bain qui était fort agréable. — Si ça vous tente, vous pouvez y revenir un instant, nous ne sommes pas obligés de passer à table tout de suite.— Non, non, merci, je ne voudrais pas abuser.— Alors, permettez-moi d’ y aller à mon tour. A ces mots je ne pus que répondre : — Mais je vous en prie, vous êtes chez vous. Elle se leva, s’avança vers la margelle. Je ne la voyais que de dos, mais devinai que ses mains déboutonnaient un à un les boutons de sa robe. Le dernier défait, elle la fit glisser sur ses épaules, le long de son dos, sur ses hanches, ses fesses, avant de la laisser choir à ses pieds. Je restai scotché sur ma chaise. Elle était en soutien-gorge et string noir en ...
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