1. Une belle histoire


    Datte: 23/02/2021, Catégories: fh, piscine, douche, volupté, Oral préservati, pénétratio,

    ... dentelle, là, à deux mètres de moi. J’avalai une grande gorgée de ti-punch, comme pour me réveiller. M’ignorant, elle passa ses mains dans son dos pour dégrafer le soutien-gorge qui rejoignit rapidement la robe, et fit glisser le long de ses jambes son string, ultime rempart à sa nudité. L’image de sa nudité fut brève, car elle se glissa avec grâce dans cette eau pure et traversa en quelques brasses le bassin. Je ne savais que faire, que dire. Arrivée à l’opposé du bassin, je ne voyais plus que sa tête sortant de l’eau. Elle s’était immobilisée et me cria : « C’est vrai, elle est très bonne ce matin ». Je ne devais plus hésiter. Je ne devais plus m’interroger. Prestement je me levai, m’avançai vers le bassin, et sachant qu’elle me regardait, j’ôtai également le maillot de bain pour lui apparaître nu. Un plongeon, une longue traversée sous l’eau et me voilà à moins d’un mètre de cette belle femme nue, dans sa piscine. Je devinai malgré le trouble de l’eau les courbes de son corps vers lesquels j’avançais lentement. Je devinai le triangle de sa toison formant une tâche plus sombre au sommet de ses cuisses. J’arrivai en rampant au fond du bassin jusqu’à ses pieds sur lesquels je posai mes mains. Puis, j’entamai doucement une lente remontée vers la surface, m’appliquant à suivre de mes mains les lignes des ses mollets, de ses cuisses, puis de ses hanches comme un fil d’Ariane. Mes doigts me guidèrent ainsi vers les seins que j’effleurais à peine au passage avant d’atteindre les ...
    ... épaules qu’elle gardait appuyées contre la margelle de la piscine. Mes lèvres, durant cette lente remontée n’avaient osé goûter à cette peau offerte. Je terminai ma remontée pour reprendre ma respiration en sortant mon visage à quelques centimètres à peine du sien, laissant glisser mes doigts sur ces bras jusqu’à emprisonner ses mains. Nos corps nus étaient à présent l’un contre l’autre. Nos regards fixes ne se quittaient plus. Aucun mot ne sortait de nos bouches qui n’osaient franchir le cap du premier baiser. Elle ne pouvait ignorer le degré de mon émoi, ayant collé contre son ventre mon sexe dressé d’excitation. Le temps s’était comme figé, suspendu à ce premier baiser qui entraînerait la fuite vers le plaisir que nous allions partager. A l’instant où mes lèvres s’approchèrent des siennes, je la sentis m’échapper de cette douce étreinte. Comme glacé par cette situation, je ne tentai pas de la retenir et la laissai filer en me retournant simplement pour la suivre du regard dans ses premières brasses. — J’ai mon gâteau au four, il va brûler, me lança-t-elle avec un sourire plus que coquin. Mon regard ne la quittait plus des yeux. Ainsi j’eus le loisir de la voir sortir gracieusement de l’eau et de découvrir enfin son corps nu et perlé de gouttelettes. Elle avait des hanches un peu larges qui tranchaient avec une taille fine. Ses jambes étaient très finement galbées, ses épaules très féminines. Un corps intégralement bronzé, ne laissant apparaître aucune trace de maillot de ...
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