La peinture à l'huile...
Datte: 28/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
inconnu,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
nopéné,
jeu,
... bout de ses longs doigts. Je n’arrive plus à tenir mes cuisses serrées. D’où il est, il ne peut pas ne pas sentir ma respiration qui accélère, la chaleur qui irradie de ma peau, mon corps qui crie d’envie et de manque. Je caresse son visage, passe mes doigts sur sa bouche, glisse le long de son cou. Il se laisse parcourir avec un plaisir non dissimulé. — Vous avez fini notre chef-d’œuvre ?— Presque, mais une couleur me manque, qui donnerait toute sa chaleur à votre corps…— Je crois savoir…— Alors faites-la couler de moi, je vous en prie. Ce sera mon cadeau pour ce que vous avez fait renaître… Je saisis son visage entre mes mains et l’embrasse comme une folle. Il s’offre, timidement d’abord, puis de plus en plus passionnément. Il redécouvre le plaisir sous mes caresses, s’ouvre à ma tendresse. C’est un sentiment si beau et si fragile de le sentir reprendre confiance, retrouver des gestes de désir, de conquête, sur mon corps. Je m’ouvre comme une fleur au soleil. Il me parcourt, me caresse de plus en plus précisément. Sa bouche fouille mon ventre, mes cuisses, mon sexe. Il cueille ma rosée sur sa langue, excite mon bouton, tète mes lèvres gonflées. Je me tortille sous ses câlins, avance mon bassin contre son visage, je sens la boule de plaisir grossir au fond de moi. Il glisse ses doigts contre ma chatte, les enfonce l’un après l’autre, en prenant tout son temps. C’est trop bon… Au moment où il me sent commencer à vibrer, il s’échappe brusquement de mon intimité et remonte ...
... contre mon ventre. Sa barbe naissante énerve ma peau, griffe mes seins tendus de désir. Il vient m’embrasser comme s’il ne remarquait pas à quel point j’ai envie de le sentir en moi. J’agrippe sa main, la repose brusquement sur ma fente, et me branle en jouant avec ses doigts contre mon clitoris. Mes seins sont trempés de sueur, j’inonde la couverture de mon jus. À l’instant où je sens que je vais monter au septième ciel, je serre mes cuisses sur sa main, et fais exploser la boule au fond de mon ventre. Je tremble comme une feuille, lui écrase les doigts dans mon puits d’amour et lui mords violemment la lèvre entre mes dents. Il se laisse faire sans résister, sans un gémissement, me serrant de toutes ses forces contre sa poitrine, comme pour contenir le débordement de mon orgasme. Quand j’arrive enfin à me calmer, il se lève, retourne à sa peinture et mélange un peu du sang qui coule de sa bouche aux couleurs qui la composent. Il retouche encore une courbe, précise un galbe, puis jette loin de lui ce qui lui sert de pinceau. — Je peux venir admirer ? Il recule au coin de la pièce et me regarde approcher de sa « toile », nue. De l’endroit où il est, il observe à la fois le modèle et l’œuvre, et ça l’amuse. Ce qu’il a fait est tout simplement superbe. Etrangement, il ne m’a pas représentée comme il me voyait d’où il me peignait. Je suis au contraire dessinée comme j’étais couchée au moment où il m’a fait jouir. Depuis le début, il avait placé mon corps sur son œuvre comme nous nous ...