1. Au feu !


    Datte: 25/02/2021, Catégories: fh, jeunes, uniforme, amour, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio,

    ... sortant deux packs d’eau. Je me dirige alors vers l’avant du camion afin de déposer les packs pour que chacun puisse se servir. C’est en m’approchant que je m’aperçus qu’il y avait une personne devant mon camion en train d’observer le travail de mes collègues. Etant donné que cette personne était emmitouflée de la tête aux pieds dans une couverture de survie et qu’elle me tournait le dos, je ne pouvais savoir si c’était un homme ou une femme. Je m’approchais donc en lançant un « Excusez-moi » et en déposant à ses pieds mes deux packs d’eau. Comme je me relevais, cette personne se retourna et je me trouvais nez à nez avec un charmant visage féminin fait de deux beaux yeux verts, d’un joli petit nez et d’une bouche…comment dire…splendide. C’est tout ce que je pouvais en voir, le reste étant caché par la couverture de survie. — Ça va ? M’entendis-je lui demander.— Ça peut aller mais je n’ai pas très chaud, me répondit-elle. Là, je ne comprenais plus rien. Moi, je crevais de chaud sous mon cuir et elle, qui était pourtant dans une couverture de survie à une vingtaine de mètres du brasier, n’avait « pas très chaud ». Qu’à cela ne tienne ! Je lui proposais de m’accompagner jusqu’au VSAB afin de se mettre au chaud. Elle accepta et nous nous sommes dirigés vers l’ambulance. J’ouvris la porte arrière pour la faire pénétrer mais elle refusa de monter si je restais dehors. Ayant appris à ne pas brusquer les victimes, je montai dans la cellule (l’arrière de l’ambulance) avec elle. Ma ...
    ... collègue (Eh oui, il y a aussi des « pompières » chez nous), qui était la responsable de la cellule, lui demanda d’enlever la couverture. À ce moment là, j’ai cru rêver. Cette demoiselle, dont je ne connaissais que le joli minois, avait en plus un corps de rêve. Vu l’heure tardive, elle devait être au lit quand l’incendie s’est déclaré. Elle est sortie précipitamment sans prendre le temps de s’habiller et s’est retrouvée dehors simplement en nuisette bleu nuit et en string assorti, toutefois plus épais que la nuisette qui était, elle, transparente. J’étais donc là, dans l’ambulance dont la température atteignait les 26°, engoncé dans mon cuir et portant ma cagoule et mon casque, devant une bombe sexuelle. Ses seins pointaient vers moi comme pour me défier au travers de cette nuisette, ses longs cheveux bruns allaient se perdre dans une chute de reins vertigineuse surplombant un fessier ferme et légèrement musclé, le tout reposant sur d’interminables jambes. Autant vous dire que des gouttes de sueur perlaient sur mon front, tant à cause de la température externe qu’interne, car vous vous doutez bien que je n’étais pas resté insensible à ses charmes. Bredouillant une excuse du genre « Il faut que j’y retourne », je sortis de la cellule pour prendre l’air. Avant de retourner vers mon véhicule, je m’approchais du chef d’agrès VSAB, un ami, et lui demandais le rapport. Il me demanda pour quelle raison, question à laquelle je répondis par un signe de tête désignant l’arrière de son ...
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