Au feu !
Datte: 25/02/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
uniforme,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
... véhicule. Il éclata de rire en me le tendant et ajouta : — Elle s’appelle Amandine, elle a 22 ans et elle est étudiante. Sympathique, hein ?— Plutôt, lui répondis-je. Elle est d’ici ?— Apparemment oui, mais je suis sûr de rien. Sur ce, je repartis vers mon camion sans réussir à ôter Amandine de mes pensées. Mon entrejambe reprit tout de même une taille plus adéquate et je pus continuer l’intervention moins tendu. L’incendie ne tarda pas à être maîtrisé, l’EPS se replia et repartit au CIS. Malgré nos efforts soutenus, il ne restait plus que les murs porteurs de la bâtisse. Le FPT de la commune voisine reçu l’autorisation de rentrer, ce qu’il fit après avoir fait le plein d’eau. Il ne restait donc plus que mon FPT, la voiture du chef de garde et le VSAB dans lequel il y avait toujours Amandine. À ce moment, la radio se mit à cracher : — De CIS à chef de garde— Transmettez CIS— J’ai le CODIS (Centre d’appel départemental) au téléphone. Ils veulent savoir si le VSAB est libre. Ils ont un arrêt cardiaque sur la commune. Le SAMU est en route.— Reçu CIS. Je libère le VSAB. Transmettez lui les coordonnées de l’intervention et prévenez le CODIS. Je pars attendre le SAMU pour faire la liaison.— Bien reçu, le VSAB part sur l’intervention et vous partez en liaison avec le SAMU … — De VSAB à Chef de garde— Transmettez VSAB— On a reçu le message. On se rend sur l’arrêt cardiaque.— Reçu VSAB. Vous partez. … — De Chef de garde à FPT.— Transmettez chef de garde— Je pars en liaison SAMU pour ...
... un arrêt cardiaque. Faites une reconnaissance du feu et vous pouvez rentrer.— Bien reçu. Le chef d’agrès part en reco avec deux hommes. Après cet affolement et le départ du VSAB et de la VLOG, il ne restait plus que le FPT sur les lieux. La reconnaissance n’étant pas terminée, les victimes ne pouvaient pas encore regagner le domicile. Je leur proposai alors de monter dans le FPT à condition de ne rien toucher. Amandine, les deux femmes de tout à l’heure et un homme d’une quarantaine d’années montèrent. J’en profitai pour enlever mon casque puis ma cagoule que je roulai en boule dans mon casque, le tout posé sur mon siège. Je ressortis pour terminer mon travail. Sur les sept autres hommes du camion, trois étaient en reco, deux restaient à poste mais sans arroser et les deux autres étaient en train de terminer de ranger leur lance. Ils me donnèrent un coup de main à brancher le camion sur le poteau incendie pour le remplir. Les trois hommes qui étaient en reco revinrent vers le camion et annoncèrent que tout danger était écarté. Les victimes pouvaient regagner la maison. J’ouvris la porte du camion pour prévenir les quatre personnes à l’intérieur que c’était bon et je retournai à mes tuyaux non sans tenter, en vain, d’apercevoir un autre bout de chair de la ravissante Amandine. J’étais en train de l’observer rentrer chez elle lorsqu’elle se retourna et me décocha un sourire à vous faire exploser le caleçon. Une fois tous les tuyaux rangés, je repris le volant, direction le CIS, ...