Justine, Jérôme, Rex et la famille. (18)
Datte: 26/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Une fois installés sur la terrasse, un rafraîchissement à la main, ils nous expliquèrent tout en détail. Le résultat était simple : ils nous avaient trouvé à tous les deux une place dans un grand hôtel de la Croisette, à Cannes. Pour moi, une place à la réception comme garçon d’étage ; pour Justine, serveuse au restaurant de l’hôtel, mais après une formation. Concrètement, je partais le surlendemain matin par le train : j’avais juste le temps de préparer mes affaires. Justine partirait deux semaines plus tard pour débuter son stage dans un hôtel du même nom, mais à Paris. Je peux vous garantir que l’idée ne me convenait qu’à moitié : pour la première fois nous, jumeaux, allions être séparés, et ce jusqu’à son arrivée l’hôtel de Cannes ; et cela devait durer un, voire deux mois. Si Justine avait l’air de prendre ça assez bien, moi j’étais très contrarié : adieu notre éternelle complicité et nos parties de cul ; j’étais dégoûté. Nos parents avaient fortement insisté pour que nous mettions toute notre énergie dans ces emplois car un bel avenir pouvait se dessiner dans cet établissement. Papa insista sur le fait qu’il était maintenant temps de penser à notre avenir, et que maintenant il fallait passer à autre chose, sans faire plus de commentaires. Avec l’aide de maman je préparais mes valises ; j’avais la gorge serrée, et mis à part pour le côté pratique des choses, nous échangions peu. Maman s’en aperçut. Nous étions seuls ; elle me serra contre elle. J’avais le nez entre ...
... ses seins. Il y avait cette odeur, un mélange de parfum et de sueur ; je l’ai enlacée. Elle me repoussa un peu, me regarda droit dans les yeux, me déshabilla et me dit : — Viens, mon chéri, une dernière fois. Elle s’agenouilla, prit mon sexe en bouche, et tout en me malaxant les testicules elle me pompa. J’étais bien ; ma queue grandissait dans sa bouche. Elle me caressait la taille, les fesses, les cuisses, et elle me pompait doucement. Sa langue jouait avec mon gland, faisant monter en moi le désir, puis ce picotement si doux dans mes boules qui roulaient sous ses doigts. Je posai mes mains sur ses épaules et les caressai avec douceur. Je sentais que le moment où j’allais tout envoyer approchait, je me retenais le plus possible ; elle s’en aperçut et fit rouler encore mes testicules, les écrasant presque. Mon jus sortit puissant par saccades ; sa bouche continuait à aspirer et je me répandais en elle. Elle continua ; j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais... C’était bon ! Mon ventre se contractait par à-coups, et elle continuait. Sa main attrapa ma verge toujours dans sa bouche et me masturba avec force ; mon plaisir se transforma en un véritable supplice. J’adorai ça : deux éjaculations coup sur coup. La bite embouchée, le gland prisonnier de ses dents, la hampe astiquée et les couilles pressées comme des citrons : j’éjaculai à nouveau ; c’était terriblement bon ! Elle me rendit ma liberté, se releva, me regarda, ouvrit la bouche pour que j’admire sa langue mélanger sa ...