Justine, Jérôme, Rex et la famille. (18)
Datte: 26/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... salive et mon sperme, puis elle avala le tout. — En souvenir, mon chéri, me dit-elle. Le lendemain, je me suis levé à l’heure du laitier. Fin prêt, ils m’ont accompagnés tous les trois jusqu’à la gare. Les adieux sur le quai ont été pour moi et Justine poignants. Le « À bientôt » était triste et larmoyant : nous perdions nos parties de cul, mais surtout notre complicité de jumeaux. Dans le train, mes yeux voyaient le paysage sans le regarder ; mon esprit était ailleurs. Ce départ avait un goût amer avec un sentiment d’abandon ; j’allais me retrouver seul. Papa m’avait assommé de recommandations et j’avais la lettre qu’il m’avait demandé de remettre à un certain M. Philippe en arrivant. « C’est ton passeport pour l’avenir. » m’avait-il dit. Comment allais-je y arriver seul, dans cette ville de la Côte d’Azur et cet hôtel cinq étoiles où règnent le luxe, les exigences des clients, des stars ; je me sentais perdu. Certes, Justine allait arriver dans deux mois ; c’est ce qui me réconfortait. Je nous voyais tous les deux dans le studio loué par papa, en attendant de trouver mieux. Pourquoi nous avait-il trouvé du travail si loin ? Près de chez nous, il y avait d’autres restos qui embauchaient certainement. Mon seul réconfort était l’arrivée de Justine dès son stage terminé et le salaire alléchant. « Pour bien débuter dans la vie. » avait souligné papa. Je pris la résolution de m’accrocher à cette nouvelle vie en attendant le retour de Justine ; je nous imaginais faisant l’amour ...
... comme des fous. Quand je sortis de mes pensées, Marseille était passée et je pouvais admirer le magnifique paysage de la Côte d’Azur sous le soleil. Arrivé à la gare de Cannes, je fus accueilli par une pancarte portant mon nom qui s’agitait au bout du bras d’un homme élégamment habillé. Il me conduisit directement à l’hôtel, puis dans le bureau du fameux M. Philippe qui me donna toutes les consignes et me fit miroiter que si je m’investissais dans l’hôtel, je pourrais grimper rapidement les échelons. Au fil du temps, je me suis parfaitement intégré et je bénéficiais des nombreux et généreux pourboires de riches clients. Le studio était assez proche (je faisais mon footing pour aller et revenir à l’hôtel) et était confortable et suffisant pour deux. Avec Justine, nous échangions quelques messages par textos ; nous n’avions ni l’un ni l’autre le temps de vraiment dialoguer, et puis le terme des deux mois approchait. Je lui envoyai un SMS en lui disant « L’appart est prêt, je t’attends, envie de toi, jtm » Elle me répondit instantanément « Je ne viens pas, je t’appelle dès que je peux. » Je lus et relus le message ; le ciel venait de me tomber sur la tête ! Seul sur mon lit, j’ai pleuré, j’étais désespéré. Elle ne pouvait pas me faire ça, elle n’avait pas le droit : on s’aime, merde ! J’ai attendu son appel longtemps ; à minuit mon téléphone sonna : c’était elle. — Allô... Justine ? Qu’est-ce qui se passe ? — Écoute, Jérôme, je n’ai pas beaucoup de temps, alors tu vas m’écouter, ...