1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (9)


    Datte: 28/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Au matin du vendredi, les jeunes pénitents furent regroupés dans la cour et enfermés dans de petites cages individuelles. Progressivement, des spectateurs arrivèrent ; chacun pouvait à loisir admirer l’anatomie des jeunes détenus dont les accessoires de chasteté avaient été retirés, sous la surveillance sévère et constante des geôlières. Enfin, Markus sut ce qui l’attendait : il allait être crucifié ! En apercevant les grands instruments de bois que l’on amenait, il se figura que sa dernière heure était venue, les pieds et les mains clouées jusqu’à ce que mort s’ensuive. L’un de ses compagnons d’infortune, qui avait déjà vécu cette expérience, lui expliqua : en réalité, il n’était pas question de supplice mortel comme au temps des Romains, mais d’un jeu aussi pervers qu’érotique consistant à être attaché sur la croix d’une manière très particulière, ce qui allait provoquer beaucoup d’excitation. Tous allaient être exhibés nus en public dans la situation la plus humiliante possible. Notre héros, bien qu’un peu déçu de n’être pas transpercé de clous, car son masochisme était extrême, redoubla d’enthousiasme à l’idée d’être exposé devant des inconnus, parmi lesquels se trouvaient de nombreuses femmes. La suite allait lui montrer combien l’imagination obscène des religieuses était féconde dans le domaine érotique. Il y avait huit jeunes pénitents, autant de garçons que de filles, préparés par une semaine de dressage féroce destinée à briser en eux tout sentiment de pudeur et de ...
    ... dignité personnelle. Tous étaient destinés à subir le châtiment final, sensé leur servir de leçon et les remettre sur le droit chemin de la tempérance. Quand l’heure fut venue, chacune et chacun fut extrait sans ménagements de sa cage afin avoir les mains et le cou emprisonnés dans un carcan de fer très lourd, les obligeant à marcher tête baissée, sous les quolibets et les rires des spectateurs et des gardiennes qui, pour l’occasion, s’étaient habillées en soldats romains et munies de fouets afin de faire presser le mouvement en meurtrissant le dos des retardataires. Celles et ceux qui tombaient étaient flagellés sans aucune pitié, jusqu’à ce qu’ils se relèvent péniblement, et s’ils ne tombaient pas d’eux-mêmes, un croc-en-jambe s’en assurait, de sorte que personne ne pouvait rester indemne des longues lanières de cuir et des moqueries qui les accompagnaient. Markus avait, de tous, le carcan le plus inconfortable et le plus lourd, car lesté de gros poids supplémentaires suspendus à des chaînes de fer. Chargé de la sorte, il lui était impossible d’avancer normalement, il chutait presque à chaque pas et son dos était strié de longues zébrures rouges. Les garçons étaient tenus en laisse, non pas par le cou, mais par les bourses, d’une ficelle fermement nouée emprisonnant ensemble leurs testicules, de sorte que toute traction était douloureuse, ce dont les geôlières ne manquaient naturellement pas d’abuser. Les filles n’étaient pas en reste, car leurs liens leur étaient fixés aux ...
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