Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (9)
Datte: 28/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... garçon, par trop effrayé de cette mise en scène, prononça le mot de sécurité : il dut aller sur le champ se rhabiller puis quitter la place, mais ensuite il regretta amèrement d’avoir manqué de courage et manqué de vivre une expérience d’une débauche exceptionnelle. Parmi les spectateurs se trouvaient quelques dames qui se découvrirent à cette occasion une vocation de bourreau, lorsque faire souffrir de jeunes garçons ou de jeunes filles leur procurait de délicieuses sensations dans le bas-ventre. Les religieuses leur prêtèrent un fouet afin de permettre de donner libre cours à leur férocité, et devant leur joie sauvage à faire souffrir, il fallut retenir leur bras, autrement elles auraient bien pu tuer leurs victimes. Mais la règle était que nul bourrèlement ne devait mettre en danger celui ou celle qui le subissait, ni laisser de séquelles définitives. Ceci assuré, tout était permis, surtout le plus vicieux et plus diabolique. Ainsi, les garçons aux membres entravés étaient sucés de fellations les emmenant presque à l’orgasme et les laissait frustrés dans une excitation confinant à la folie. Markus, plus que les autres, fut exposé à ces tourments libertins, ce qui le comblait de joie tout en le menant au bord de la folie. Mais il attendait avec impatience son crucifiement dont l’horreur promise l’attirait. Les couronnes d’épines étaient prêtes : chacun avait la sienne, tressée selon la taille de son crâne dans la peau duquel elle s’enfonçait douloureusement, faisant couler ...
... sur les joues quelques gouttes de sang se mêlant aux larmes du martyre. Au milieu de la cour, les croix attendaient au sol. Elles avaient été construites spécialement pour chaque condamné, à sa mesure. En haut du mât, une pancarte affichait, par exemple : Markus – dévergondé lubrique. Les croix avaient une particularité : elles étaient munies d’un sédile, c’est-à-dire un tenon incliné à quarante-cinq degrés à hauteur du bassin, de manière à sodomiser les condamnés. On appelle cela également un cornu, probablement à cause de sa forme recourbée vers le haut. De leur temps, les Romains y avaient recours afin de punir les esclaves qui avaient commis un crime sexuel, comme avoir des relations non autorisées entre eux, ou le viol de leurs maîtres. C’était le pire châtiment que leur imagination aussi perverse que féconde avait pu trouver. Ainsi, Markus, comme les autres, fut contraint de s’allonger sur le bois de sa croix afin d’y être attaché par des cordes au niveau des poignets et des chevilles, après qu’on avait positionné le sédile dans son orifice anal, sans chercher à l’enfoncer complètement. Malgré la rudesse dont faisaient preuve celles qui le manipulaient, il se laissait faire sans opposer de résistance, trop heureux de se trouver là. Puis, ce fut l’élévation, une croix après l’autre. C’était le moment que tout le monde attendait. Le spectacle fut grandiose et saisissant pour les spectateurs ! Car contrairement au Christ des Évangiles, point de pagne pudique : les organes ...