Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (9)
Datte: 28/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... génitaux, exposés à hauteur de visage, s’étalaient à la vue de tous, de manière à brimer totalement la pudeur des condamnés. Ceux-ci, à cause de l’inconfort de leur position, se tortillaient selon une danse particulièrement lascive, dont chaque mouvement enfonçait un peu plus profondément le cornu dans leurs profondeurs rectales. Les garçons, dont l’objet fouillant appuyait de plus en plus fortement sur leur prostate, avaient des verges magnifiquement dressées en position de midi. Les moins bien équipés suscitaient rires et moqueries de la part de la gent féminine, index tendus, malicieux, vers leurs piètres attributs, pour leur plus grande confusion. En outre, quelle que soit la taille de leur mentule, ils éprouvaient à cause de la pression sur leur prostate un besoin pressant et désespéré d’éjaculer les quantités de semence acculée au cours de leur long jeûne sexuel, mais évidemment, les deux mains attachées à l’horizontale, ils ne pouvaient pas se stimuler eux-mêmes, et en étaient réduits à supplier les spectatrices de leur caresser le membre viril. On entendait en continu un concert de pleurs et de gémissements misérables. Pour leur part, les filles ainsi châtiées dévoilaient, grâce à une épilation complète, les moindres détails des replis de leur zone vulvaire, permettant aux messieurs les plus curieux de parfaire leurs connaissances en anatomie, sous le regard amusé de leur épouse. Ils pouvaient librement glisser leurs doigts dans la cavité naturelle, extraire entre ...
... pouce et index le clitoris de son petit capuchon afin d’en admirer la rondeur pourpre et brillante, s’extasier en verbes poétiques de ce superbe tableau, puis user de leur langue afin de se délecter de lacyprine que l’excitation suscitait. Cela réveillait parfois des libidos endormies par les habitudes conjugales, pour le bonheur des dames dont le conjoint vieillissant retrouvait pour un temps, le soir venu, de son ardeur au lit. Celles et ceux qui étaient venus assister à cet événement n’en croyaient pas leurs yeux, tant tout cela était d’une obscénité grandiose. Afin d’en garder un souvenir durable, les parents photographiaient leurs enfants suspendus, grimaçants et nus, sur le bois d’infamie. Ou bien, une religieuse acceptait de tenir l’appareil et l’on posait en famille au pied de la croix, afin de garder de cette journée un souvenir durable dans les albums secrets. Les pères avaient le sexe puissamment durci par lesvulves humides et superbement mises en évidence de leurs filles, alors que les mères, sous leur jupe, mouillaient de voir les phallus bien droits et suintant la rosée du désir de leurs fils, tout juste majeurs, enculés profondément sur la croix libertine. Là naissaient les projets d’orgies familiales au cours desquelles le tabou incestueux serait brisé. Certains couples, inspirés par cette incroyable débauche, copulaient déjà, à l’ombre du mât de leur enfant qui regardait, incrédule, ses géniteurs se délecter de ses souffrances. Parfois se préparait à cet endroit ...