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Songe d'une nuit d'hiver
Datte: 01/03/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, couple, plage, amour, intermast, Oral pénétratio, tutu, conte, merveilleu,
... sont plus des murmures, mais des ordres que tu m’adresses. Comme un copilote dans un rallye qui guide son coéquipier vers la victoire. Une « dernière ligne droite » dans laquelle nous jetons toute notre tendresse tout notre amour et … le dernier ordre claque : « Maintenant, prends-moi maintenant, je ne peux plus attendre. » Tu le sais, j’aime t’obéir, surtout dans ces moments-là. Je m’installe sur tes cuisses, sexe tendu vers le but tant souhaité. Tes mains écartent tes fesses et lorsque je te pénètre la fontaine se réveille et inonde le lit en tentant de me noyer. Peu importe, je suis vaillant et ne me laisse pas démonter. D’un seul coup, je te cloue sur le matelas. Ton cri d’approbation ne fait que renforcer ma volonté d’exaucer tes vœux. Quelques mouvements de va-et-vient en douceur pour m’assurer que tout est en place et je te chevauche comme une cavale rebelle, que tu es. Tout ton corps bouge, bondit, comme pour me désarçonner, alors que tes mains écartant encore plus tes deux fesses disent qu’il faut aller encore plus vite, plus loin. Je plaque les mains sur tes épaules avant que tu ne me fasses vider les étriers et je continue ma chevauchée fantastique. La réalité de mon âge ne tarde pas à nous rejoindre, juste au moment où tu cries dans le noir que tu es la plus heureuse des femmes, je me vide en toi te donnant en plus de l’amour que j’ai de toi une nouvelle raison d’être sûre que c’est bien un enfant de l’amour que nous sommes en train de faire. Je suis retombé sur toi, nous nous sommes mis sur le côté sans nous séparer, comme tu aimes tant que nous soyons après l’amour. Bien planté en toi, je n’ai aucune envie de quitter la place. Sauf que, hélas, je ne suis pas seul à décider. Lentement, à regret, je me retire. Nous échangeons un long baiser sur lequel nous replongeons dans un sommeil lourd et réparateur.