1. Songe d'une nuit d'hiver


    Datte: 01/03/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, couple, plage, amour, intermast, Oral pénétratio, tutu, conte, merveilleu,

    ... offrant ainsi une place de choix entre elles. Un écrin de soie. Il s’y installe. Ton sein que ma main emprisonne réagit lui aussi. Son téton chatouille le creux de ma paume. Tu soupires d’aise. Sous mon autre main ton ventre frissonne, je le flatte doucement, comme avec un duvet. Ton bassin se met en mouvement, très doucement. Le massage qu’il prodigue à mon sexe le rend encore plus dur. Mademoiselle Punkette qui jusque-là dormait encore, enfin peut-être, se frotte contre ma cuisse. Je sens le petit durillon de ton cli qui me griffe la peau. Une chaleur particulière, humide, comme celle que dégage une bouche au cours d’un long baiser s’étale sur ma peau. Pendant quelques minutes rien de plus, mais tout s’amplifie. Au rythme de ta respiration, je sens que tu te réveilles. D’une main, tu couvres celle des miennes qui se promène sur ton ventre. Tu appuies un peu dessus pour accentuer la caresse. Et là, je sais que tout va recommencer. Ni l’un ni l’autre n’osons bouger. Surtout ne pas rompre l’enchantement. Finalement nos corps prennent le dessus sur nos volontés. Et bien, va, qu’ils en fassent selon leurs désirs. Tu te recales contre moi, encore plus près. Ton bassin, qui depuis un moment vivait sa propre vie, amplifie ses mouvements. Mon sexe se laisse masser par tes deux tendres fesses. Ne me dis pas que tu n’es pas parfaitement réveillée, que ce n’est pas toi qui caresses mon gland de ton passage secret, celui qu’un jour tu m’as offert en m’annonçant que j’étais le premier à ...
    ... l’emprunter. L’un comme l’autre nous savons que ce n’est là que caresses, que c’est ailleurs que va se jouer la suite de la partie. Tu roules sur le ventre, ton sexe toujours au contact de ma cuisse, le mien libéré de son étau de chair se détend, triomphe. Ma main qui était sur ton ventre prend possession de tes fesses, part en exploration du profond sillon qu’elles encadrent. Tu me l’offres en remontant ton bassin, découvrant ainsi ta fente sublime. Chaude, déjà trempée. Je cherche et trouve ton cli, lui aussi orgueilleux, tendu, réclamant sa part de tendresse. Comment lui résister ? Il roule sous mes doigts que ton sexe inonde. Je le presse, l’écrase, le martyrise un peu, je sais que tu aimes. Tu me le prouves en relevant encore plus le bassin. Le mouvement ouvre ta petite chatte, sépare les lèvres. Sans la regarder, je sais que le rose et le brun foncé se mêlent en harmonie, que ces draperies qui fermaient l’entrée de ta grotte d’amour en facilitent maintenant l’accès. Ta respiration se mêle à de petits gémissements plaintifs. Un « oui » murmuré filtre de ta bouche. Quelques secondes plus tard c’est « encore » qui prend le même chemin. D’un doigt, je te pénètre, j’explore ce domaine que je connais si bien, je cherche l’endroit où toucher pour te faire perdre tête et raison. Il y en a plusieurs selon les jours et ton excitation. Avec deux doigts, je poursuis ma quête. Il ne me faut pas très longtemps pour trouver. Tu frémis, j’insiste. Tu geins, pourquoi m’arrêter ? Ce ne ...
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