Une robe bleue et un mollet galbé
Datte: 02/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
hotel,
voyage,
amour,
Oral
pénétratio,
... mains s’enhardissent dans ton dos et après avoir joué de la nuque au soutien-gorge, descendent maintenant jusqu’au haut de tes fesses où elles découvrent l’élastique d’une culotte que bientôt elles agacent pour sentir le début d’un sillon. Ces découvertes de ton corps, menu mais aux formes si modelées, sont un ravissement énorme. Je t’embrasse en maintenant ta tête contre la mienne de la main gauche pendant que d’un geste de la main droite je te rapproche du bord de la pierre : puis en me redressant un peu, j’appuie mon sexe bandé sur ton entrejambe. Je sens dans ta langue un moment d’interrogation mais je maintiens cette pression sur ta nuque et le baiser si enivrant repart. Je sais que tu sens mon sexe contre le tien et que cela ne peut pas te laisser indifférente. Je remue un peu pour provoquer ce frottement si délicieux et lorsque de désir tu m’enlaces de tes mollets pour serrer mes fesses avec tes pieds, j’éjacule dans mon boxer. Et d’un soubresaut ma jouissance t’atteint. Nos bouches se séparent et nos têtes se posent au creux de nos épaules. Tandis que sous les ponts de la Seine coule l’eau. Peu de mots, mais de longues et sages caresses de nos mains. Je te murmure « Viens » et nous marchons. Nous vagabondons dans les rues du Marais, tantôt main dans la main, tantôt épaule contre épaule, tantôt séparés et nous nous sourions, nous sommes dans notre bulle. Nous parlons. De tout, de rien. De ce que nous aimons, de ce que nous voulons. Tu ris et moi aussi. Pour la ...
... première fois. C’est bon de rire ensemble. Il est minuit sans doute et lorsque le hasard nous emmène devant la devanture de l’hôtel de Reims, je te serre la main et te redis « Viens ! » Ton rire s’efface et tu deviens grave. « Ne sommes-nous pas tous un peu Cendrillon ? J’ai peur de perdre mon soulier si je ne rentre à temps… » Mais la résistance est surtout verbale et ma main ferme t’entraîne déjà à la réception où un veilleur de nuit, goguenard insiste en nous demandant si nous avons réservé et si nous avons des bagages. Son œil trahit sa pensée : il connaît ce genre d’arrivée impromptue et s’en délecte. Quelques minutes qui paraissent interminables et enfin une clef et un ascenseur. Je te regarde alors que les étages défilent. Tu es songeuse. Tu es belle aussi quand tu es dans tes pensées. As-tu le vertige ? Qui sommes-nous l’un à l’autre ? Si peu et tellement. Tu vas te donner dans les bras d’un homme que tu n’avais jamais remarqué avant ce midi. Comment une femme comme toi, éduquée, élevée dans des principes, disposant d’une situation enviable, maîtrisant ses émotions, comment peux-tu te retrouver là, dans cet hôtel, face à ce veilleur de nuit minable et dans un ascenseur grillagé qui grince en montant lentement, avec un amant inconnu ? Oui vertigineux. Je tourne la clef et nous rentrons dans une chambre propre, meublée avec goût bien que petite. Nous sommes en plein cœur de Paris. Tu te diriges vers la fenêtre et je te rejoins. Il faut que je retrouve cette tension. Je suis ...