Vendanges
Datte: 02/03/2021,
Catégories:
fh,
hh,
hplusag,
jeunes,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
hsodo,
init,
confession,
prememois,
inithh,
... jouissais en elle, Marie-Laure avait la même expression de visage que Serge, au moment où il avait joui. La ressemblance entre les deux rendait la vision très troublante. Puis mon semi-rêve dériva. J’étais devenu Marie-Laure… ou du moins étais dans son corps, et me voyais, me sentais, moi, ou plutôt un double utilisant mon corps. Je voyais ainsi mon propre sexe, érigé, en face de moi, et en ressentais le désir. Nous étions toujours sous la douche, l’eau ruisselant sur nous. Puis tout d’un coup, je m’aperçus que mon double était maintenant privé de pénis, que celui-ci était là, entre mes jambes. J’avais le corps de Marie-Laure, ses seins, ses fesses, mais pas son sexe, remplacé par mon propre pénis. J’étais frustré(e), réalisant que mon double n’allait pas pouvoir me pénétrer… Et puis soudainement, je sentis une présence derrière moi, puis un sexe se frayant impérieusement son chemin au plus étroit, entrant en moi – moi, Marie-Laure. Je tournai la tête en pensant trouver Mohsine mais je découvris Francis – la sensation physique, s’accentuant, me réveilla alors, me trouvant tout surpris d’être seul. Dans sa scène finale, le rêve n’était pas une nouveauté – de façon récurrente, au fil des ans, j’avais imaginé ce qui serait arrivé si Francis avait réussi à me pénétrer, au point parfois, le temps facilitant la reconstruction du souvenir, de me demander si ce n’avait pas été le cas. Les fois où j’en avais rêvé, me retrouver sexuellement excité au réveil avait été un plaisir ...
... honteux pour moi. Dans les derniers mois, l’homme de la piscine s’était souvent, en pensée, substitué à Francis. Le lendemain, samedi, était le dernier que je passerais avec Marie-Laure : le dimanche la verrait reprendre, avec Serge, le train pour Paris. Je devais pour ma part travailler un jour de plus. À midi, nous nous glissâmes au creux du bosquet qui nous servait de refuge. Fatigué, j’avais pourtant un désir plus fort que jamais. J’avais maintenant une idée, et surtout une image, très forte, en tête. C’était le dernier jour… cela passerait, ou pas, je n’avais plus rien à perdre. Lorsque Marie-Laure, comme la veille, glissa à nouveau sa main, dégageant mon sexe, je glissai ma main vers son pantalon, fis sauter le bouton. Marie-Laure se contracta visiblement. — Je veux voir… et te toucher aussi. Elle me regarda longuement, puis soupira. Soudain décidée, en gestes rapides, elle se mit à genoux, finit de se déboutonner, puis avec une ondulation d’une prodigieuse force érotique, entreprit de descendre le tissu si serré… Son slip blanc descendit avec. J’étais appuyé sur un coude et la voyait de dos… Enfin, ce n’est pas son dos que je regardais. Sa prodigieuse beauté callipyge, en cet instant, était l’unique objet de mon désir. Marie Laure se rassit, à côté de moi. Je vis sa toison. Après un moment d’immobilité embarrassée, je me rappelai ma déclaration et avançait ma main. Lorsque je la touchai, Marie-Laure soupira, ferma les yeux brièvement, puis les rouvrit. J’essayai de caresser… ...